J’ai peur.
Une forêt déambule dans le noir.
L’ivresse offre une vision sans limites.
Dans la cathédrale le vitrail éclaire le désespoir.
Dans ma tête les interdits se bousculent.
Pourtant je voudrais être libre du poids qui bascule.
C’est pourquoi, je parcours les marchés ouverts sur ma fenêtre.
Ma liberté est le fruit de ma folie,
qui vole en langue apprise, recoin de l’oubli.
L’écriture me fatigue en labyrinthe de l’ennui.
L’horloge du temps est implacable,
jouant sur la géographie de mes émotions,
comme la meute de loups s’acharnant sur le nourrisson.
Mon esprit boîte.
Le dialogue ambigu des caresses
Attise mes aubes de frayeurs qui agressent.
Je vois le sang couler dans les ruelles étroites.
Alors, J’ai peur.
Loïc ROUSSELOT
Une forêt déambule dans le noir.
L’ivresse offre une vision sans limites.
Dans la cathédrale le vitrail éclaire le désespoir.
Dans ma tête les interdits se bousculent.
Pourtant je voudrais être libre du poids qui bascule.
C’est pourquoi, je parcours les marchés ouverts sur ma fenêtre.
Ma liberté est le fruit de ma folie,
qui vole en langue apprise, recoin de l’oubli.
L’écriture me fatigue en labyrinthe de l’ennui.
L’horloge du temps est implacable,
jouant sur la géographie de mes émotions,
comme la meute de loups s’acharnant sur le nourrisson.
Mon esprit boîte.
Le dialogue ambigu des caresses
Attise mes aubes de frayeurs qui agressent.
Je vois le sang couler dans les ruelles étroites.
Alors, J’ai peur.
Loïc ROUSSELOT