j'ai oublier d'vivre,
oublier d'être moi même.
Pas oublier d'être ivre,
même si je sais que 'ca me mal-mène.
J'ai oublier d'aimer,
et même de l'être en retour,
Enfait, j'pense que j'ai oublier
même le parfum de l'amour.
J'ai oublier de rêver,
même ce qu'est la raison.
Vivre ma liberté,
cloturé dans ma prison.
J'ai oublier d'sécher mes larmes,
parfois elles coulent trop vite.
La tristesse est une arme,
et aucun gilet ne t'en abrite!
J'ai oublier de faire c'qu'il faut,
pour éffacer mes défauts.
A défaut d'être,
C'que j'ai toujours voulu être.
Alors j'fais c'que j'peux,
même si j'sais qu'c'est bien peu.
Mais la vie n'pousse qu'aux endroits où il pleut.
J'ai oublié d'aller en cours,
inconscience m'a prit de court.
Et à ce jour, si j'cours,
c'est pas pour fuire c'que j'encours.
Mais pour rattraper l'temps,
même si j'sais que d'temps en temps,
J'perd l'espoir, comme le jour tombe dans le noir.
Et je n'sais pas,
si c'est à tors ou à raison,
mais la vie m'blessera,
la mort sera ma guérrison.
Ma sortie d'prison,
Comme une changement d'saison.
Un arrêt dans l'temps,
Comme un changement d'horizon.
J'ai oublier d'fermer les yeux,
Sur tout c'qui s'passe autour,
L'homme dit se battre pour Dieu,
envois des avions dans des tours.
Ca vaut l'détour,
Pourtant tout le monde est indigné.
La paix est au menu et personne n'sera au dîner!
J'ai oublier d'y croire encore,
le doute est mon Mentor.
J'reste faible face à l'éffort,
même si je sais qu'il est l'plus fort.
J'ai oublier d'prier,
Même dans l'désespoir, la haine m'a vu briller!
J'ai oublier, que parfois faut oublier,
ce dire qu'elle est partie,
n'emportant d'moi qu'une partie.
J'ai oublier toutes les choses que l'on sent.
Et toute ces choses que j'ressens,
Toutes ces choses qui dans mon sang,
coulent à ne plus pouvoir vivre sans.
oublier d'être moi même.
Pas oublier d'être ivre,
même si je sais que 'ca me mal-mène.
J'ai oublier d'aimer,
et même de l'être en retour,
Enfait, j'pense que j'ai oublier
même le parfum de l'amour.
J'ai oublier de rêver,
même ce qu'est la raison.
Vivre ma liberté,
cloturé dans ma prison.
J'ai oublier d'sécher mes larmes,
parfois elles coulent trop vite.
La tristesse est une arme,
et aucun gilet ne t'en abrite!
J'ai oublier de faire c'qu'il faut,
pour éffacer mes défauts.
A défaut d'être,
C'que j'ai toujours voulu être.
Alors j'fais c'que j'peux,
même si j'sais qu'c'est bien peu.
Mais la vie n'pousse qu'aux endroits où il pleut.
J'ai oublié d'aller en cours,
inconscience m'a prit de court.
Et à ce jour, si j'cours,
c'est pas pour fuire c'que j'encours.
Mais pour rattraper l'temps,
même si j'sais que d'temps en temps,
J'perd l'espoir, comme le jour tombe dans le noir.
Et je n'sais pas,
si c'est à tors ou à raison,
mais la vie m'blessera,
la mort sera ma guérrison.
Ma sortie d'prison,
Comme une changement d'saison.
Un arrêt dans l'temps,
Comme un changement d'horizon.
J'ai oublier d'fermer les yeux,
Sur tout c'qui s'passe autour,
L'homme dit se battre pour Dieu,
envois des avions dans des tours.
Ca vaut l'détour,
Pourtant tout le monde est indigné.
La paix est au menu et personne n'sera au dîner!
J'ai oublier d'y croire encore,
le doute est mon Mentor.
J'reste faible face à l'éffort,
même si je sais qu'il est l'plus fort.
J'ai oublier d'prier,
Même dans l'désespoir, la haine m'a vu briller!
J'ai oublier, que parfois faut oublier,
ce dire qu'elle est partie,
n'emportant d'moi qu'une partie.
J'ai oublier toutes les choses que l'on sent.
Et toute ces choses que j'ressens,
Toutes ces choses qui dans mon sang,
coulent à ne plus pouvoir vivre sans.