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J'ai commencé jeune mes conneries

kinkin

Maître Poète
#1
J'ai commencé jeune à faire des conneries
Je me suis fait porter malade un après-midi
Car à l'école d'y aller je n'avais pas envie
Une fois 14h passée plus de bobos c'était fini

Comme par un miracle dans la Basilique de Lisieux
Je ne sais pas par quel saint j'allais beaucoup mieux
Ma mère me dit < Tu ne m'y reprendra pas mon vieux >
Le pot aux roses découvert une fois pas deux

Un Mercredi avec ma mère, petit salut à nos morts au cimetière
Nous sommes rentrés dans l'église laissant le presbytère
J'ai vu une corde j'ai tiré dessus et les cloches sonnèrent
Le cul terreux du coin croyait avoir perdu un être cher

Un après midi je pique le vélo de ma nièce, Claudie
Ma mère qui braillait comme une ânesse < Reviens ici
Tu vas lui casser > Elle avait bien vue la Marie
Quand j'ai ramené le vélo en deux, je me suis fait tout petit

Mon père avait planté dans le jardin un bel abricotier
Qui donnait de beaux fruits acidulés succulents a déguster
Un matin, je suis allé dans le bâtiment je pris la hache aiguisée
Quelques coups sur le tronc et l'arbre nourricier était tombé

Mon père une fois avait gagné au tiercé pas mal de sous
Il m'avait fait plaisir en m'achetant un tracteur à 4 roues
Mais un jour, je lui ai mis les feu ça empesté le caoutchouc
J'aurais mérité une bonne raclée de bois vert sur ce coup


Tiens en parlant de correction et cou de pied au cul
Mon beauf m'en avait promis un je me suis barré dans la rue
Ils avaient lancés les recherches cinq heures après je suis revenu
A la nuit tombée je l'attend toujours car ne l'ai pas eu

J'avais un pote son grand père était un cul terreux
Un après midi nous étions trois avec mon neveu
Il y avait une tondeuse à moutons ni une ni deux
Nous lui avons passé à mon neveu dans ses cheveux

J’avais un petit vélo rouge acheté pour mon anniversaire
En faisant qu'à ma tête n'écoutant pas les conseils de ma mère
Je descendis une côte raide j'ai atterri sur un piquet en fer
Mal en point, j'avais des blessures et mon crane ouvert

Je pissais le sang je fus ramener par un pote à la maison
Il fallait en profiter pour me mettre dans ma caboche du plomb
J'en ai fait des conneries j'en faisais qu'à ma tête de lard, d'ânon
Je le reconnais que parfois j'ai agi vraiment comme un petit con

Certes des tours pendables mais jamais de visites de képis bleus
Pour ma mère j'étais le petit dernier le chouchou à ses yeux
Je me souviens encore de sa phrase < Il va me faire mourir à petit feu >
Elle était visionnaire car c'est à 90 ans qu'elle est parti voir Dieu




 

Fanny17

Maître Poète
#2
Sacré listing de "conneries ":)...je dirais plutôt que tu étais un enfant créatif, très vivant avec beaucoup d'imagination et sans limite lol..de quoi épuiser une maman en effet mais sans qu'elle ne cesse jamais d'aimer..
Merci Kinkin j'ai beaucoup aimé.
Amicalement
 

lebroc

Maître Poète
#5
J'ai commencé jeune à faire des conneries
Je me suis fait porter malade un après-midi
Car à l'école d'y aller je n'avais pas envie
Une fois 14h passée plus de bobos c'était fini


Comme par un miracle dans la Basilique de Lisieux
Je ne sais pas par quel saint j'allais beaucoup mieux
Ma mère me dit < Tu ne m'y reprendra pas mon vieux >
Le pot aux roses découvert une fois pas deux


Un Mercredi avec ma mère, petit salut à nos morts au cimetière
Nous sommes rentrés dans l'église laissant le presbytère
J'ai vu une corde j'ai tiré dessus et les cloches sonnèrent
Le cul terreux du coin croyait avoir perdu un être cher


Un après midi je pique le vélo de ma nièce, Claudie
Ma mère qui braillait comme une ânesse < Reviens ici
Tu vas lui casser > Elle avait bien vue la Marie
Quand j'ai ramené le vélo en deux, je me suis fait tout petit


Mon père avait planté dans le jardin un bel abricotier
Qui donnait de beaux fruits acidulés succulents a déguster
Un matin, je suis allé dans le bâtiment je pris la hache aiguisée
Quelques coups sur le tronc et l'arbre nourricier était tombé


Mon père une fois avait gagné au tiercé pas mal de sous
Il m'avait fait plaisir en m'achetant un tracteur à 4 roues
Mais un jour, je lui ai mis les feu ça empesté le caoutchouc
J'aurais mérité une bonne raclée de bois vert sur ce coup


Tiens en parlant de correction et cou de pied au cul
Mon beauf m'en avait promis un je me suis barré dans la rue
Ils avaient lancés les recherches cinq heures après je suis revenu
A la nuit tombée je l'attend toujours car ne l'ai pas eu


J'avais un pote son grand père était un cul terreux
Un après midi nous étions trois avec mon neveu
Il y avait une tondeuse à moutons ni une ni deux
Nous lui avons passé à mon neveu dans ses cheveux


J’avais un petit vélo rouge acheté pour mon anniversaire
En faisant qu'à ma tête n'écoutant pas les conseils de ma mère
Je descendis une côte raide j'ai atterri sur un piquet en fer
Mal en point, j'avais des blessures et mon crane ouvert


Je pissais le sang je fus ramener par un pote à la maison
Il fallait en profiter pour me mettre dans ma caboche du plomb
J'en ai fait des conneries j'en faisais qu'à ma tête de lard, d'ânon
Je le reconnais que parfois j'ai agi vraiment comme un petit con


Certes des tours pendables mais jamais de visites de képis bleus
Pour ma mère j'étais le petit dernier le chouchou à ses yeux
Je me souviens encore de sa phrase < Il va me faire mourir à petit feu >
Elle était visionnaire car c'est à 90 ans qu'elle est parti voir Dieu




Et encore je suis sur que tu ne nous dis pas tout
Peut-être dans les prochains numéros de "Kinkin la malice"
Bonne journée et pas de bêtise
 

GABY73

Maître Poète
#8
J'ai commencé jeune à faire des conneries
Je me suis fait porter malade un après-midi
Car à l'école d'y aller je n'avais pas envie
Une fois 14h passée plus de bobos c'était fini


Comme par un miracle dans la Basilique de Lisieux
Je ne sais pas par quel saint j'allais beaucoup mieux
Ma mère me dit < Tu ne m'y reprendra pas mon vieux >
Le pot aux roses découvert une fois pas deux


Un Mercredi avec ma mère, petit salut à nos morts au cimetière
Nous sommes rentrés dans l'église laissant le presbytère
J'ai vu une corde j'ai tiré dessus et les cloches sonnèrent
Le cul terreux du coin croyait avoir perdu un être cher


Un après midi je pique le vélo de ma nièce, Claudie
Ma mère qui braillait comme une ânesse < Reviens ici
Tu vas lui casser > Elle avait bien vue la Marie
Quand j'ai ramené le vélo en deux, je me suis fait tout petit


Mon père avait planté dans le jardin un bel abricotier
Qui donnait de beaux fruits acidulés succulents a déguster
Un matin, je suis allé dans le bâtiment je pris la hache aiguisée
Quelques coups sur le tronc et l'arbre nourricier était tombé


Mon père une fois avait gagné au tiercé pas mal de sous
Il m'avait fait plaisir en m'achetant un tracteur à 4 roues
Mais un jour, je lui ai mis les feu ça empesté le caoutchouc
J'aurais mérité une bonne raclée de bois vert sur ce coup


Tiens en parlant de correction et cou de pied au cul
Mon beauf m'en avait promis un je me suis barré dans la rue
Ils avaient lancés les recherches cinq heures après je suis revenu
A la nuit tombée je l'attend toujours car ne l'ai pas eu


J'avais un pote son grand père était un cul terreux
Un après midi nous étions trois avec mon neveu
Il y avait une tondeuse à moutons ni une ni deux
Nous lui avons passé à mon neveu dans ses cheveux


J’avais un petit vélo rouge acheté pour mon anniversaire
En faisant qu'à ma tête n'écoutant pas les conseils de ma mère
Je descendis une côte raide j'ai atterri sur un piquet en fer
Mal en point, j'avais des blessures et mon crane ouvert


Je pissais le sang je fus ramener par un pote à la maison
Il fallait en profiter pour me mettre dans ma caboche du plomb
J'en ai fait des conneries j'en faisais qu'à ma tête de lard, d'ânon
Je le reconnais que parfois j'ai agi vraiment comme un petit con


Certes des tours pendables mais jamais de visites de képis bleus
Pour ma mère j'étais le petit dernier le chouchou à ses yeux
Je me souviens encore de sa phrase < Il va me faire mourir à petit feu >
Elle était visionnaire car c'est à 90 ans qu'elle est parti voir Dieu





Kinkin je te rassure je suis une fille mais je n'ai pas laissé ma part aux autres pour les betises
Amicalement
Gaby