J’ai choisi la rose de ta douceur
J’ai choisi la rose de ta douceur
depuis que tu m’irradies,
et que tu m’irrigues de ta clarté.
Ma Muse, ma Vierge souveraine,
depuis que tu m’irradies,
et que tu m’irrigues de ta clarté.
Ma Muse, ma Vierge souveraine,
les arbres des bocages fleurissent
au vent de tes paumes,
je crayonne en toute saison des nids
pour mes amis les oiseaux,
au vent de tes paumes,
je crayonne en toute saison des nids
pour mes amis les oiseaux,
et je m’enveloppe de la couverture de tes mots.
Inonde-moi encore
du printemps de ta Lumière,
et du brasier de ton Amour,
Inonde-moi encore
du printemps de ta Lumière,
et du brasier de ton Amour,
pendant que l’aube me chuchote
dans les myriades de l’Univers
la poésie saphique de ta beauté,
et les clématites de ta délicatesse.
dans les myriades de l’Univers
la poésie saphique de ta beauté,
et les clématites de ta délicatesse.
J’erre sans cesse sur le parchemin de ta peau,
dans le silence de nos nudités si belles,
parmi le flux et le reflux des jours,
laisse-moi glorifier l’astre de ta Splendeur,
dans le silence de nos nudités si belles,
parmi le flux et le reflux des jours,
laisse-moi glorifier l’astre de ta Splendeur,
laisse-moi chérir
l’éternelle jeunesse
de la pluie de ta chevelure d’ébène,
Toi qui sèmes le Soleil
l’éternelle jeunesse
de la pluie de ta chevelure d’ébène,
Toi qui sèmes le Soleil
dessus le lit des forêts,
dessus le ciel de mon corps
je suis ivre
des galaxies de ton visage.
dessus le ciel de mon corps
je suis ivre
des galaxies de ton visage.
Je
ne
vis que pour Toi,
et que par Toi,
ne
vis que pour Toi,
et que par Toi,
alors porte-moi en l’arc-en-ciel des zéniths,
sous la tapisserie des nuages,
à même les voyelles des sentes, et
anéantis-moi de Grâce avec la sublimité de tes baisers !
sous la tapisserie des nuages,
à même les voyelles des sentes, et
anéantis-moi de Grâce avec la sublimité de tes baisers !
Sophie Rivière