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Irrigue-moi du soleil de ta douceur

rivière

Maître Poète
#1
Irrigue-moi du soleil de ta douceur

La mousseline des nuages s’effeuille,
les cendres de nuit s’enfuient au loin
dans l’infini des horizons,
les roses éclosent aux versets de ta lumière.

Les étangs, les lacs, et les bocages du Maine
brasillent de poussière d’or
à l’évocation de ton nom de baptême,
irrigue-moi encore du soleil de ta douceur,

ô ma Muse, ma Princesse de délicatesse.
Vois, l’océan de mon Amour danse et t’effleure,
les sentes s’ouvrent à la scansion de mes escarpins
dès que j’erre,

en micro-robe de soie blanche,
sous le tulle immaculé de ta Splendeur,
parmi les ciels d’azur,
et le palimpseste des ruisseaux.

Je te poétise sans cesse à flanc de félicité
sur les lèvres des fontaines, au zénith des nuées,
face aux chants des oiselles
qui m’ensorcellent et te révèrent.

Laisse-moi t’offrir l’éternité de mon Amour,
moi qui ne fais plus vœu de silence
depuis que tu m’as fait découvrir
la magnificence de ma féminité, et les sanglots de mes ruts.

Les saisons passent, et trépassent,
mais je suis plus belle et plus jeune de jour en jour,
je n’ai pour patrie que le duché de tes aisselles,
et l’urne de tes hanches.

Sème
à même l’astre de mes seins pigeonnants
la sève de mon désir,
appareille sur le timon de mon clitoris

qui n’attend que la voile assoiffée de tes paumes,
et
baptise
le cristal de ma clarté !

Sophie Rivière

 

Cortisone

Maître Poète
#2
Irrigue-moi du soleil de ta douceur

La mousseline des nuages s’effeuille,
les cendres de nuit s’enfuient au loin
dans l’infini des horizons,
les roses éclosent aux versets de ta lumière.

Les étangs, les lacs, et les bocages du Maine
brasillent de poussière d’or
à l’évocation de ton nom de baptême,
irrigue-moi encore du soleil de ta douceur,

ô ma Muse, ma Princesse de délicatesse.
Vois, l’océan de mon Amour danse et t’effleure,
les sentes s’ouvrent à la scansion de mes escarpins
dès que j’erre,

en micro-robe de soie blanche,
sous le tulle immaculé de ta Splendeur,
parmi les ciels d’azur,
et le palimpseste des ruisseaux.

Je te poétise sans cesse à flanc de félicité
sur les lèvres des fontaines, au zénith des nuées,
face aux chants des oiselles
qui m’ensorcellent et te révèrent.

Laisse-moi t’offrir l’éternité de mon Amour,
moi qui ne fais plus vœu de silence
depuis que tu m’as fait découvrir
la magnificence de ma féminité, et les sanglots de mes ruts.

Les saisons passent, et trépassent,
mais je suis plus belle et plus jeune de jour en jour,
je n’ai pour patrie que le duché de tes aisselles,
et l’urne de tes hanches.

Sème
à même l’astre de mes seins pigeonnants
la sève de mon désir,
appareille sur le timon de mon clitoris

qui n’attend que la voile assoiffée de tes paumes,
et
baptise
le cristal de ma clarté !

Sophie Rivière

Absente cet après midi je lis ce poème reposant rempli de sensualité
Bisous ma belle
Amicalement
Gaby
 

rivière

Maître Poète
#3
Bonsoir Gaby,
je te remercie beaucoup pour l'extrême douceur de ton message.
Plus les jours passent, plus la sensualité m'assaille, et me transporte
vers une Jouissance plus forte, vers un amour plus intense.

Bonne soirée.
Gros bisous.
Sophie