Mes souvenirs... Certains me plongent dans un combat, mais celui-ci,
Continue à me faire sourire... Enfin presque... Je vais te le conter !
Nous étions dans des terres de braises via le feu du soleil, mais aussi,
Celui de l'homme. Les deux font taire... Et sur terre... Nulle bonté !
Bref, à la nuit, une de nos sentinelles a rampé sans se faire remarquer,
Ceux-ci trouvèrent embuscade dans le sable, avec une paille pour respirer,
Attendant le piège venant du matin pour que cette place forte soit attaquée,
Ainsi, dès l'aube, avec les véhicules ennemis pris la veille, on s'est montré,
Faisant semblant d'être sous le feu des ennemis, car, voila la belle idée,
Nous cacher dans les matériels roulants, et nos amis ne faisant que tirer,
En l'air... L'officier adverse croyant que ses troupes fussent enfin arrivées,
Mais sous le feu de nos armes, ordonna certainement d'ouvrir à la volée,
Les portes de son fort... Erreur ! Nous, avec empressement sommes rentrés !
Au même moment, les embusqués sortent et assaillent la sentinelle de garde !
Ils bloquent et empêchent que les portes ne soient fermées... Nous ? On tire !
On occasionne sous l'effet de la surprise le plus de mal possible... Çà barde !
On se déleste des véhicules... On vise... On touche... Du mieux aux pires !
Et ceux qui faisant semblant de nous tirer dessus ? Comme une harde,
Ils se divisent en trois groupes. La première rentre dans la forteresse,
Pour nous aider, les deux autres prennent en tenaille sur les côtés,
Nous sommes ainsi dans l'enceinte de ces maudits sans sagesse,
On se rue tous dans cette enceinte ! En petit groupe ou en mêlée,
On engage la furie du combat ! Des morts tombent ! Les caresses,
Des engagements balayent les fantassins ennemis habillés...
Eux ?... Ah oui !... Eux ! Ils sont pris en tenaille, les flancs sont submergés,
L'intérieur ne peut les aider... Ils se défendent à la qui mieux mieux....
Certains créent des poches de résistances... Ils sont désorganisés !
Les ordres ne passent plus ! Ils se terrent, se cachent... Tant mieux !
Nos hélicoptères arrivent et longent leurs murailles. Ils attendent le signal !
On jette nos grenades fumigène sur les ennemis isolés, et les oiseaux de feu,
Actionnent leurs chants mortuaire pour leur occasionner le plus possible du mal !
Alors, les derniers se rendent et véritablement, eux sont les plus chanceux....
Pourquoi cette prise ? Pourquoi s'être camouflé dans les véhicules ennemis ?
La semaine avant, ils avaient gazés un village entier. Hommes, femmes et enfants,
Ils possédaient l'arme terrible ! La vilaine reine de la haine qui sème en "Tchiiiii"
Une nuée destructrice qui aime et enchaîne la même mort dans les rangs !
Ainsi, la surprise fut la meilleur méthode, en tout cas celle choisie...
Et le gaz fut récupéré en un temps très court. 5 minutes ! Sacré bon sang....
Christophe.
Continue à me faire sourire... Enfin presque... Je vais te le conter !
Nous étions dans des terres de braises via le feu du soleil, mais aussi,
Celui de l'homme. Les deux font taire... Et sur terre... Nulle bonté !
Bref, à la nuit, une de nos sentinelles a rampé sans se faire remarquer,
Ceux-ci trouvèrent embuscade dans le sable, avec une paille pour respirer,
Attendant le piège venant du matin pour que cette place forte soit attaquée,
Ainsi, dès l'aube, avec les véhicules ennemis pris la veille, on s'est montré,
Faisant semblant d'être sous le feu des ennemis, car, voila la belle idée,
Nous cacher dans les matériels roulants, et nos amis ne faisant que tirer,
En l'air... L'officier adverse croyant que ses troupes fussent enfin arrivées,
Mais sous le feu de nos armes, ordonna certainement d'ouvrir à la volée,
Les portes de son fort... Erreur ! Nous, avec empressement sommes rentrés !
Au même moment, les embusqués sortent et assaillent la sentinelle de garde !
Ils bloquent et empêchent que les portes ne soient fermées... Nous ? On tire !
On occasionne sous l'effet de la surprise le plus de mal possible... Çà barde !
On se déleste des véhicules... On vise... On touche... Du mieux aux pires !
Et ceux qui faisant semblant de nous tirer dessus ? Comme une harde,
Ils se divisent en trois groupes. La première rentre dans la forteresse,
Pour nous aider, les deux autres prennent en tenaille sur les côtés,
Nous sommes ainsi dans l'enceinte de ces maudits sans sagesse,
On se rue tous dans cette enceinte ! En petit groupe ou en mêlée,
On engage la furie du combat ! Des morts tombent ! Les caresses,
Des engagements balayent les fantassins ennemis habillés...
Eux ?... Ah oui !... Eux ! Ils sont pris en tenaille, les flancs sont submergés,
L'intérieur ne peut les aider... Ils se défendent à la qui mieux mieux....
Certains créent des poches de résistances... Ils sont désorganisés !
Les ordres ne passent plus ! Ils se terrent, se cachent... Tant mieux !
Nos hélicoptères arrivent et longent leurs murailles. Ils attendent le signal !
On jette nos grenades fumigène sur les ennemis isolés, et les oiseaux de feu,
Actionnent leurs chants mortuaire pour leur occasionner le plus possible du mal !
Alors, les derniers se rendent et véritablement, eux sont les plus chanceux....
Pourquoi cette prise ? Pourquoi s'être camouflé dans les véhicules ennemis ?
La semaine avant, ils avaient gazés un village entier. Hommes, femmes et enfants,
Ils possédaient l'arme terrible ! La vilaine reine de la haine qui sème en "Tchiiiii"
Une nuée destructrice qui aime et enchaîne la même mort dans les rangs !
Ainsi, la surprise fut la meilleur méthode, en tout cas celle choisie...
Et le gaz fut récupéré en un temps très court. 5 minutes ! Sacré bon sang....
Christophe.
Je tiens à préciser que ce n'est que de la fiction...
