Aujourd'hui mon coeur a cessé de battre,
Il s'est arrêté une éternité,
Car il n'en existe aucun fait d'albâtre,
Le mien est esclave de ta volonté.
Aujourd'hui je t'ai aperçue,
Mon coeur à tes pied, s'est asservi,
Je n'ose espérer plus que de ne t'avoir vue,
Cela amplement à mon bonheur suffit.
Et je me retrouve sans me retrouver,
Niais d'un amour qu'il me reste à prouver,
Un vain espoir toujours tiraille ma pensée,
Celui-là même de voir mon regard retourné,
Je ne veux tout risquer mais rien ne m'est acquis,
J'aimerai dévoiler ce sentiment profond,
Dans tes yeux me plonger et me noyer au fond,
Je ne puis me leurrer, cela ne m'est permis.
Il s'est arrêté une éternité,
Car il n'en existe aucun fait d'albâtre,
Le mien est esclave de ta volonté.
Aujourd'hui je t'ai aperçue,
Mon coeur à tes pied, s'est asservi,
Je n'ose espérer plus que de ne t'avoir vue,
Cela amplement à mon bonheur suffit.
Et je me retrouve sans me retrouver,
Niais d'un amour qu'il me reste à prouver,
Un vain espoir toujours tiraille ma pensée,
Celui-là même de voir mon regard retourné,
Je ne veux tout risquer mais rien ne m'est acquis,
J'aimerai dévoiler ce sentiment profond,
Dans tes yeux me plonger et me noyer au fond,
Je ne puis me leurrer, cela ne m'est permis.