Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Impressions d'adagio

#1
Impressions d'Adagio,

Mon ÂME pleure ! De longs sanglots, lourdes larmes
Voilent mon cœur torturé, l'esprit transporté
Dans l'émotif Adagio des Cordes, l'alarme
Se déclenche à l'écouter, il m'a emporté !


Les sens à fleur de peau, le corps paralysé
Mon être transfiguré, je vole au dessus
Du réel, la chair dématérialisée
A ressentir le mal, je l'ai enfin perçu !


La déchirure dans les horreurs de la guerre
La Mort annihile tout, la vie est un leurre
L'homme est un monstre civilisé si vulgaire
Qu'il fait pâlir les Dieux et mon Âme pleure !


Impression d'un Adagio !

Le cœur saigne, l'esprit s'émeut, le corps vacille
Car les jambes flageolent et je dois m'asseoir
Ce morceau a coupé mon âme à la faucille
Je suis transfiguré, j’attends la Mort ce soir !


A entendre l’Adagio d’Albinoni
Je suis prêt à affronter ce cruel destin
Qui mènera à jamais vers cet infini
Cet ailleurs, je le sais, un jour viendra la fin !


J’ai fait le deuil de ma vie, je suis coi, en paix
Et je n’ai pas peur ! J’ai combattu mes démons
Que la Mort m’enveloppe d’un brouillard épais
La Camarde me prend, qu’on n’oublie pas mon nom !


 
Dernière édition:
#2
C'est dur mais cet extraordinaire
existe aujourd'hui bien en chair!

Tout en partage,
 
Dernière édition:
#3
Impressions d'Adagio,

Mon ÂME pleure ! De longs sanglots, lourdes larmes
Voilent mon cœur torturé, l'esprit transporté
Dans l'émotif Adagio des Cordes, l'alarme
Se déclenche à l'écouter, il m'a emporté !


Les sens à fleur de peau, le corps paralysé
Mon être transfiguré, je vole au dessus
Du réel, la chair dématérialisée
A ressentir le mal, je l'ai enfin perçu !


La déchirure dans les horreurs de la guerre
La Mort annihile tout, la vie est un leurre
L'homme est un monstre civilisé si vulgaire
Qu'il fait pâlir les Dieux et mon Âme pleure !


Impression d'un Adagio !

Le cœur saigne, l'esprit s'émeut, le corps vacille
Car les jambes flageolent et je dois m'asseoir
Ce morceau a coupé mon âme à la faucille
Je suis transfiguré, j’attends la Mort ce soir !


A entendre l’Adagio d’Albinoni
Je suis prêt à affronter ce cruel destin
Qui mènera à jamais vers cet infini
Cet ailleurs, je le sais, un jour viendra la fin !


J’ai fait le deuil de ma vie, je suis coi, en paix
Et je n’ai pas peur ! J’ai combattu mes démons
Que la Mort m’enveloppe d’un brouillard épais
La Camarde me prend, qu’on n’oublie pas mon nom !


J'ai apprécié ma lecture
Merci olivier