Si nous arrêtions de vouloir comprendre et changer le monde
La terre tournait sans nous et continuera sans doute
Quand il n’y aura plus personne pour compter en secondes
Quand elle aura détruit les goudrons de nos routes
Elle se moquera de nos adoucisseurs et maisons solaires
Des éoliennes des Don Quichottes aux ailes légères
En quelques tours elle oubliera ces parasites
Nés de nulle part à qui elle a donné le gite.