Mince, me voilà bien embêté que de ne pas comprendre ce que vous ne comprenez pas dans mon intervention. Que faire ? Vous demandez de comparer vous-même ce texte avec le texte nationaliste publié hier par vos soins "Gloire à toi, ô France" ? Peut-on, dans un texte, sembler être autant attaché aux choses de ce bas monde (des paysages, des reliefs, des traditions culinaires etc. faisant l'objet d’une féroce convoitise des "étrangers" glorieusement et maintes fois repoussés) et dans un autre louer cette vie éthérée et dépouillée, insouciante, en revanche, des choses de ce bas monde, et qui cherche aux vastes cieux ce salut que d’autres pourraient, semble-t-il, espérer trouver dans l’argent (le Veau d’or) ou que d’autres encore (athées) ont désormais cessé de chercher en pensant que Dieu n’existe pas ? Voilà pourquoi ce texte m’a fait rire : du fait du contraste saisissant entre votre post d’hier et celui-ci. Je n’ai pu m’empêcher de m’exclamer "Ben voyons !" à sa lecture ;-)