Sur le chemin de la vie, on aime, on rit, …
Et parfois sur ce chemin arrive une terrible maladie.
Au départ, on nie, puis on est en colère et on crie.
Pourquoi les pages de notre histoire se changent en tragédie ?
On cherche donc un moyen de négocier le retour à la santé,
Et on finit par faute de choix d’accepter.
Difficile de parler de ta mort, de ton déclin,
Difficile de te dire au revoir, de te voir arrachée aux tiens
Difficile de voir ton corps amaigri s'en aller,
Difficile d'en parler, d'accepter, et de continuer.
La vie est parfois injuste, sans pitié
Elle vous retire trop vite les êtres tant aimés.
Nous n'avons pas eu le temps de te dire à quel point nous t'aimons
Tu es partis trop vite, l'amour laissant place à la tristesse.
Tu n'as pas mérité cette vie chamboulée
Par la maladie qui peu à peu t'as gagnée.
Elle ne t'as pas laissé le temps nécessaire
De connaître les joies d’hier.
La sclérose en plaques est la pire des maladies pour nous
Elle nous a pris notre grand mère et nous nous sentons seuls parfois.
C'est pourquoi pour ne jamais oublier tes traits,
Nous nous remémorons tous les bons moments que nous avons passés.
N’oublie pas que tu demeureras toujours dans nos pensées
Mais surtout que nous t'aimons et cela à tout jamais.
Tu nous as laissés en ce jour,
À cause de cette maladie,
Tu nous as laissés pour toujours,
Triste fin de vie.
On a vu ton esprit se dégrader,
On a vu ton courage se désemparer,
Mais aujourd'hui on ne voit plus rien,
Aveuglés par le chagrin.
Tu nous manques déjà tellement,
Que si c'était possible nous reviendrions dans le temps,
Juste pour réentendre ton rire,
Et te revoir sourire
Nous fermons le dernier chapitre de ta vie,
Et te portons un dernier hommage,
En disant que la maladie en aura été la plus mauvaise page
Sache tu ne tomberas jamais dans l'oubli.
Cette maladie qui a fait de ta vie un enfer
Nous laisse aujourd'hui surtout un goût amer,
Nous nous consolons en me disant que tu dois enfin être paisible
Nous nous disons, là voilà enfin en paix,
Et ce même si nous aurions aimé te garder
Assurément à nos cotés,
Mais surtout en bonne santé.
Et parfois sur ce chemin arrive une terrible maladie.
Au départ, on nie, puis on est en colère et on crie.
Pourquoi les pages de notre histoire se changent en tragédie ?
On cherche donc un moyen de négocier le retour à la santé,
Et on finit par faute de choix d’accepter.
Difficile de parler de ta mort, de ton déclin,
Difficile de te dire au revoir, de te voir arrachée aux tiens
Difficile de voir ton corps amaigri s'en aller,
Difficile d'en parler, d'accepter, et de continuer.
La vie est parfois injuste, sans pitié
Elle vous retire trop vite les êtres tant aimés.
Nous n'avons pas eu le temps de te dire à quel point nous t'aimons
Tu es partis trop vite, l'amour laissant place à la tristesse.
Tu n'as pas mérité cette vie chamboulée
Par la maladie qui peu à peu t'as gagnée.
Elle ne t'as pas laissé le temps nécessaire
De connaître les joies d’hier.
La sclérose en plaques est la pire des maladies pour nous
Elle nous a pris notre grand mère et nous nous sentons seuls parfois.
C'est pourquoi pour ne jamais oublier tes traits,
Nous nous remémorons tous les bons moments que nous avons passés.
N’oublie pas que tu demeureras toujours dans nos pensées
Mais surtout que nous t'aimons et cela à tout jamais.
Tu nous as laissés en ce jour,
À cause de cette maladie,
Tu nous as laissés pour toujours,
Triste fin de vie.
On a vu ton esprit se dégrader,
On a vu ton courage se désemparer,
Mais aujourd'hui on ne voit plus rien,
Aveuglés par le chagrin.
Tu nous manques déjà tellement,
Que si c'était possible nous reviendrions dans le temps,
Juste pour réentendre ton rire,
Et te revoir sourire
Nous fermons le dernier chapitre de ta vie,
Et te portons un dernier hommage,
En disant que la maladie en aura été la plus mauvaise page
Sache tu ne tomberas jamais dans l'oubli.
Cette maladie qui a fait de ta vie un enfer
Nous laisse aujourd'hui surtout un goût amer,
Nous nous consolons en me disant que tu dois enfin être paisible
Nous nous disons, là voilà enfin en paix,
Et ce même si nous aurions aimé te garder
Assurément à nos cotés,
Mais surtout en bonne santé.
Marie-Sophie