Sous un halo de lune,
aux heures fraîches de la nuit
je reprends un semblant d'écriture,
difficile de parler de ces longs mois,
où l'hiver me parut si froid!.
Où la glace s'est faite sentir dans tout mon être, où la douleur de l'âme me fut insupportable!.
J'ai affronté les tempêtes, les orages
j’ai gravi les montagnes à bout de souffle!.
J'ai senti mon corps me lâcher
le cœur lacéré, j’ai laissé le temps me détruire!.
À petit feu, les regrets pénétrant mes failles, je me suis heurtée au rocher d'une mer agitée, j’ai saigné de multiples blessures, dans l'indifférence la plus totale, me raccrochant à un avenir meilleur, me murmurant que tout ira pour le mieux.
M'assurant que j'avais vécu le pire
me convainquant qu'après la pluie
Il y a le beau temps!.
J'ai tout abandonné sur mon passage
je me suis vidé de tout entourage
famille, ami(e)s...
Mais au fait quelles ami(e)s ?
Sûrement pas en ceux que j'ai cru
eux, ne valent pas la peine
que je m'attarde dessus!.
J'évite de ressasser pour ne pas ouvrir la porte à tous ces sentiments passés!.
J'ai pleuré de rage!.
j’ai hurlé de colère!.
Le vent emportant tous mes mots,
je me suis mordue les doigts
une centaine de fois!.
Les brisant au point de ne plus pouvoir écrire, j’ai touché le fond du puits!.
Affrontant ma peur du noir,
maugréant des mots d'oiseaux,
de sueurs froides en désespoir
j’ai voulu mourir!.
Oui mourir!.
Sans honte de le dire
mais les coups du sort, m'ont rendu plus forte, plus courageuse,
et telle l'amazone, je me relève
la hargne qui m'habite ne me fera plus fléchir!.
Je ne suis pas une faible,
oh non! loin de là, que celui qui le pense,
se dresse contre moi, je l'écrase comme un vulgaire cafard!.
Je suis de ces femmes dotées d'une force Incommensurable, et plus rien ni personne, ne se dressera sur mon chemin!.
Aujourd'hui je suis seule,
comme l’ermite cherchant son chemin, les ronces m'éraflent,
mais, plus rien ne m'arrêtera,
je ne trébucherai plus, je ne tomberai plus, je m'accrocherai jusqu'à ce que mort s'en suive, parce que demain sera meilleur!.
Le ciel se dégagera de ses nuages
l'horizon sera plus clair, car je suis femme, femme de combat celle, qui demain vivra !!!!
aux heures fraîches de la nuit
je reprends un semblant d'écriture,
difficile de parler de ces longs mois,
où l'hiver me parut si froid!.
Où la glace s'est faite sentir dans tout mon être, où la douleur de l'âme me fut insupportable!.
J'ai affronté les tempêtes, les orages
j’ai gravi les montagnes à bout de souffle!.
J'ai senti mon corps me lâcher
le cœur lacéré, j’ai laissé le temps me détruire!.
À petit feu, les regrets pénétrant mes failles, je me suis heurtée au rocher d'une mer agitée, j’ai saigné de multiples blessures, dans l'indifférence la plus totale, me raccrochant à un avenir meilleur, me murmurant que tout ira pour le mieux.
M'assurant que j'avais vécu le pire
me convainquant qu'après la pluie
Il y a le beau temps!.
J'ai tout abandonné sur mon passage
je me suis vidé de tout entourage
famille, ami(e)s...
Mais au fait quelles ami(e)s ?
Sûrement pas en ceux que j'ai cru
eux, ne valent pas la peine
que je m'attarde dessus!.
J'évite de ressasser pour ne pas ouvrir la porte à tous ces sentiments passés!.
J'ai pleuré de rage!.
j’ai hurlé de colère!.
Le vent emportant tous mes mots,
je me suis mordue les doigts
une centaine de fois!.
Les brisant au point de ne plus pouvoir écrire, j’ai touché le fond du puits!.
Affrontant ma peur du noir,
maugréant des mots d'oiseaux,
de sueurs froides en désespoir
j’ai voulu mourir!.
Oui mourir!.
Sans honte de le dire
mais les coups du sort, m'ont rendu plus forte, plus courageuse,
et telle l'amazone, je me relève
la hargne qui m'habite ne me fera plus fléchir!.
Je ne suis pas une faible,
oh non! loin de là, que celui qui le pense,
se dresse contre moi, je l'écrase comme un vulgaire cafard!.
Je suis de ces femmes dotées d'une force Incommensurable, et plus rien ni personne, ne se dressera sur mon chemin!.
Aujourd'hui je suis seule,
comme l’ermite cherchant son chemin, les ronces m'éraflent,
mais, plus rien ne m'arrêtera,
je ne trébucherai plus, je ne tomberai plus, je m'accrocherai jusqu'à ce que mort s'en suive, parce que demain sera meilleur!.
Le ciel se dégagera de ses nuages
l'horizon sera plus clair, car je suis femme, femme de combat celle, qui demain vivra !!!!
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