Frustration
Quand je te quitte après dix minutes de bonheur
Alors que je voudrais tellement que ce soit des heures
Il y a en moi comme un mélange de sentiments contraires
La tristesse de déjà te quitter et la joie de te plaire
Nos rencontres sont si rares et si brèves
Juste le temps d’avoir ton goût sur mes lèvres
Mais avec Toi elles sont si chaudes et si intenses
Que, à peine séparé, déjà à la prochaine je pense.
Je suis frustré de ta présence adorée
Frustré des baisers de ma tendre poupée
C’est injuste que de si purs sentiments
Ne puissent s’exprimer plus librement
Bien sûr, je n’en veux à personne évidemment
Surtout pas à Toi qui comme moi subit ce tourment
La vie pourrait bien nous faire ce petit cadeau souhaité
Nous donner un peu plus de temps et de tranquillité
Oh ma petite poupée d’amour après laquelle je soupir
Je suis en manque de tes regards, de tes sourires
Je passe tant d’heures à me languir de Toi
Que parfois la tristesse s’empare de moi.
Rassures toi, jamais pour très longtemps
Le son de ta voix me comble heureusement
Nous ne demandons portant que peu de chose
Avoir pour nous le temps que vive une rose
C’est dure, c’est injuste, c’est frustrant
D’aimer, d’être aimé d’avoir si peu de temps
Ce temps qui par ailleurs est gaspillé en choses futiles
Alors que pour nous aimer librement il serait si utile
Ma douce, ma tendre, ma poupée, mon aimée
De ta présence, de tes yeux, de ton corps je suis frustré.
Un jour peut-être l’occasion nous sera donnée enfin
De nous aimer librement, totalement, sans frein.
Une heure ! deux heures ! Soyons fous ! Un jour
Quand on est amoureux le temps est si court
Ce jour là, je serai, n’en doute aucunement
Sur terre, avec Toi, le plus heureux des amants
Quand je te quitte après dix minutes de bonheur
Alors que je voudrais tellement que ce soit des heures
Il y a en moi comme un mélange de sentiments contraires
La tristesse de déjà te quitter et la joie de te plaire
Nos rencontres sont si rares et si brèves
Juste le temps d’avoir ton goût sur mes lèvres
Mais avec Toi elles sont si chaudes et si intenses
Que, à peine séparé, déjà à la prochaine je pense.
Je suis frustré de ta présence adorée
Frustré des baisers de ma tendre poupée
C’est injuste que de si purs sentiments
Ne puissent s’exprimer plus librement
Bien sûr, je n’en veux à personne évidemment
Surtout pas à Toi qui comme moi subit ce tourment
La vie pourrait bien nous faire ce petit cadeau souhaité
Nous donner un peu plus de temps et de tranquillité
Oh ma petite poupée d’amour après laquelle je soupir
Je suis en manque de tes regards, de tes sourires
Je passe tant d’heures à me languir de Toi
Que parfois la tristesse s’empare de moi.
Rassures toi, jamais pour très longtemps
Le son de ta voix me comble heureusement
Nous ne demandons portant que peu de chose
Avoir pour nous le temps que vive une rose
C’est dure, c’est injuste, c’est frustrant
D’aimer, d’être aimé d’avoir si peu de temps
Ce temps qui par ailleurs est gaspillé en choses futiles
Alors que pour nous aimer librement il serait si utile
Ma douce, ma tendre, ma poupée, mon aimée
De ta présence, de tes yeux, de ton corps je suis frustré.
Un jour peut-être l’occasion nous sera donnée enfin
De nous aimer librement, totalement, sans frein.
Une heure ! deux heures ! Soyons fous ! Un jour
Quand on est amoureux le temps est si court
Ce jour là, je serai, n’en doute aucunement
Sur terre, avec Toi, le plus heureux des amants
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