Fouzia, c’est l’amour qui tombe dans la lumière
Ô belle âme de volupté et de douceur,
Unique tu me rends plus fort tu es mon lierre,
Zapper une seule journée, un crève-cœur,
Il y a cette complicité outrancière,
À chaque instant j’attends l’appel adorateur.
Mon adorée, l’encre sur la toile s’ėtale
Oubliant le temps qui passe, je m’émeus
N e serait-ce ta photo à la lueur pâle.
Ô vertiges intérieurs, ton regard lumineux
Me transperce quand se pose ta silhouette,
Battent les palmes d’un cœur, épris amoureux
Retenant tes courbes comme des devinettes,
En pensées mes baisers appuyés et fougueux.
Ô belle âme de volupté et de douceur,
Unique tu me rends plus fort tu es mon lierre,
Zapper une seule journée, un crève-cœur,
Il y a cette complicité outrancière,
À chaque instant j’attends l’appel adorateur.
Mon adorée, l’encre sur la toile s’ėtale
Oubliant le temps qui passe, je m’émeus
N e serait-ce ta photo à la lueur pâle.
Ô vertiges intérieurs, ton regard lumineux
Me transperce quand se pose ta silhouette,
Battent les palmes d’un cœur, épris amoureux
Retenant tes courbes comme des devinettes,
En pensées mes baisers appuyés et fougueux.