Posée sur un coussin de soie,
Elle resplendit de beauté.
Jamais on a senti en soi
Telle sensation de fierté :
Elle a les dents d’un blanc si pur
Que l'on les dirait être en or,
De l’or blanc comme on trouve sur
Les bagues des Dames dehors.
Aussi, sa très belle peau noire
Qui fait jaser tous les esprits,
Fait qu'on ne peut que la vouloir
Quand on ne connaît pas son prix…
Elle resplendit de beauté.
Jamais on a senti en soi
Telle sensation de fierté :
Elle a les dents d’un blanc si pur
Que l'on les dirait être en or,
De l’or blanc comme on trouve sur
Les bagues des Dames dehors.
Aussi, sa très belle peau noire
Qui fait jaser tous les esprits,
Fait qu'on ne peut que la vouloir
Quand on ne connaît pas son prix…
Elle semble bien fragile,
Tellement tout chez elle est fin.
Son cœur ne tient qu’à un fil,
Mais un fil plus fort que l’étain.
On l’entend bien, ce palpitant
Caché au fond de ses entrailles
Qui bat de son pouls entêtant,
Celui des belles fiançailles.
Tout s’engraine sans un accroc
Et fait marcher la mécanique
De ce bijoux que tout accro
Ne voudra jamais numérique.
J’entends alors une voix douce
Qui me demande si je veux
La garder ou non dans sa housse.
J’exprime alors mon plus grand vœu :
Je veux la mettre à mon poignet,
Cette montre qui m’émerveille,
Refermer son doux bracelet,
Sentir vivre cette merveille !
Quoi de plus beau que les rouages
D’un chef-d’œuvre d’horlogerie ?
Il émeut des gens de tout âge,
Et les pousse à la rêverie.
COMPOSE EN JANVIER 2009 (16ans)
Tellement tout chez elle est fin.
Son cœur ne tient qu’à un fil,
Mais un fil plus fort que l’étain.
On l’entend bien, ce palpitant
Caché au fond de ses entrailles
Qui bat de son pouls entêtant,
Celui des belles fiançailles.
Tout s’engraine sans un accroc
Et fait marcher la mécanique
De ce bijoux que tout accro
Ne voudra jamais numérique.
J’entends alors une voix douce
Qui me demande si je veux
La garder ou non dans sa housse.
J’exprime alors mon plus grand vœu :
Je veux la mettre à mon poignet,
Cette montre qui m’émerveille,
Refermer son doux bracelet,
Sentir vivre cette merveille !
Quoi de plus beau que les rouages
D’un chef-d’œuvre d’horlogerie ?
Il émeut des gens de tout âge,
Et les pousse à la rêverie.
COMPOSE EN JANVIER 2009 (16ans)