hors concours
Farandole de Printemps
Alors que le coquin de Printemps s'apprête à faire son apparition,
Mon cœur bat en pensant à toutes ses brassées de fleurs promises,
A leurs parfums embaumant l'atmosphère déclenchant une passion
Sévissant depuis des millénaires, brillant aux yeux des insoumises...
Les chevelures ressemblent à des herbes folles quand souffle le vent,
On peut entendre la harpe cristalline, d'amours tapis dans les arbres.
Où nichent les oiseaux de paradis, fuse un doux appel au soleil levant,
Saluant le retour d'une caravane emplumée, brisant l'hiver de marbre.
Que de merveilles se préparent, Dieu peaufine ses tableaux chatoyants,
Sa palette de couleurs ajoute à l'immensité, son panel d'évanescences,
L'ombre s'enfuit lascive, toute en beauté, face à l'or de l'astre rayonnant,
Le masque de la nuit s'estompe devant ses crinières de luminescences...
La vie s'éveille peu à peu, tout est babillements et long frémissement,
La main d'un grand maître caresse l'échine ancestrale de notre terre,
Les cloches en fête chantent sa renaissance et c'est l'éblouissement...
Les hommes revêtent un déguisement, Carnaval fait oublier la guerre...
Farandole de Printemps
Alors que le coquin de Printemps s'apprête à faire son apparition,
Mon cœur bat en pensant à toutes ses brassées de fleurs promises,
A leurs parfums embaumant l'atmosphère déclenchant une passion
Sévissant depuis des millénaires, brillant aux yeux des insoumises...
Les chevelures ressemblent à des herbes folles quand souffle le vent,
On peut entendre la harpe cristalline, d'amours tapis dans les arbres.
Où nichent les oiseaux de paradis, fuse un doux appel au soleil levant,
Saluant le retour d'une caravane emplumée, brisant l'hiver de marbre.
Que de merveilles se préparent, Dieu peaufine ses tableaux chatoyants,
Sa palette de couleurs ajoute à l'immensité, son panel d'évanescences,
L'ombre s'enfuit lascive, toute en beauté, face à l'or de l'astre rayonnant,
Le masque de la nuit s'estompe devant ses crinières de luminescences...
La vie s'éveille peu à peu, tout est babillements et long frémissement,
La main d'un grand maître caresse l'échine ancestrale de notre terre,
Les cloches en fête chantent sa renaissance et c'est l'éblouissement...
Les hommes revêtent un déguisement, Carnaval fait oublier la guerre...
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