La ville est triste sous le ciel hivernal
Des rues grises ,mornes comme une plaine
Des personne affolées agitent leurs pedales
Prises dans un tourbillon dévorant leur petite reine
Je songe
Dans le café ou tout est calme
Ou la télé parlote, berçant ma rêverie
Tandis que 'un acharné à la machine à sous
Enfoncé un cliquetis dans mes oreilles
Je songe
Des jeunes discutent de leur avenir,d es professeurs et des copains,
Par la vitre embuée, j'aperçois des passants ,
Pensifs ou bien souriants,
Des couples , des barbus, des hippies ,des discrets
Jeunes ,vieux ,élégants ou fripes ,
Des gamins effrontés se battent comme plâtre,
En face ,un bus rempli ,c'est l'heure de pointe,
Et pour moi tout s'efface
Le ciel est gris , les arbres pleurent ,
Et je me dis,
2 Févier , Fête de la Lumière
Nous devrions aller , un cierge entre les doigts ,
Comment faire pour voir leurs âmes ,
À travers ce béton ,ces nuages ,ce bruit ,
Et ces trottoirs infâmes ?
Une voix me dit que le ciel est bleu d'âmes aimantes,
Assoiffées de beauté ,de justice et d' Amour ,
Que la flamme pure est impalpable et muette ,
Quelle brille en leur coeur meurtri et misérable ,
Perdue dans leur solitude ,
Alors là voie : Faites la monter jusqu'à votre altitude ,
Ils vous diront merci .
Occupée tout le Dimanche
Bonne semaine à tous
Des rues grises ,mornes comme une plaine
Des personne affolées agitent leurs pedales
Prises dans un tourbillon dévorant leur petite reine
Je songe
Dans le café ou tout est calme
Ou la télé parlote, berçant ma rêverie
Tandis que 'un acharné à la machine à sous
Enfoncé un cliquetis dans mes oreilles
Je songe
Des jeunes discutent de leur avenir,d es professeurs et des copains,
Par la vitre embuée, j'aperçois des passants ,
Pensifs ou bien souriants,
Des couples , des barbus, des hippies ,des discrets
Jeunes ,vieux ,élégants ou fripes ,
Des gamins effrontés se battent comme plâtre,
En face ,un bus rempli ,c'est l'heure de pointe,
Et pour moi tout s'efface
Le ciel est gris , les arbres pleurent ,
Et je me dis,
2 Févier , Fête de la Lumière
Nous devrions aller , un cierge entre les doigts ,
Comment faire pour voir leurs âmes ,
À travers ce béton ,ces nuages ,ce bruit ,
Et ces trottoirs infâmes ?
Une voix me dit que le ciel est bleu d'âmes aimantes,
Assoiffées de beauté ,de justice et d' Amour ,
Que la flamme pure est impalpable et muette ,
Quelle brille en leur coeur meurtri et misérable ,
Perdue dans leur solitude ,
Alors là voie : Faites la monter jusqu'à votre altitude ,
Ils vous diront merci .
Occupée tout le Dimanche
Bonne semaine à tous
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