Ex-phase de propos désunis !
Pastiche de " Extase d'une nuit infinie !" de Lilasys
J'avais cet œil qui criait le beau, ces dents d'elle,
L'élève qui espérait sachant qu'elle n'était plus celle,
Du goût de sa voix, elle posait sa sagesse en exposant ses maux,
Elle blanchissait de glace et dont encore, j'entremêlais mes mots.
Du brasier de son licou, j'essayais d'enlever l'opprobre,
Le goût de ce bord dru que je te dois, doit être altier et sobre,
Demain, je me voulais patient et la trouvais connue par son habileté,
Tu m'époustoufles, son d'un cor sur un siège d'une ronde surveillée.
Vocation du vieux devin, sage au vice sans fin, contant des zonzons,
De mini humeurs, j'aime tracer sur tes mots un peu de ton prénom,
Pour t'humer tes moues par l'eunuque dans la longueur de tes vœux,
De respirer tes parfums et puis les saisir, Beaucoup ou un petit peu.
Pour tous tu veux illuminer et éliminer les pires pour une chance,
Dans ton sofa, bien tapie, tu te trémousses sur cette lie en cadence,
Tes pots de verveine te relaxent aussi des tors de tous ces fous,
D'une lueur à peine éteinte, casser les vertèbres du dos aux genoux.
Il nait dans ce cauchemar des gnons pour les imposteurs,
Martyr d'une chienne de vie, sur laquelle ton œil satyrique reste un bonheur.
Tu nous tiens ! Tiens ! Tiens ! Un cauchemar…
Pastiche de " Extase d'une nuit infinie !" de Lilasys
J'avais cet œil qui criait le beau, ces dents d'elle,
L'élève qui espérait sachant qu'elle n'était plus celle,
Du goût de sa voix, elle posait sa sagesse en exposant ses maux,
Elle blanchissait de glace et dont encore, j'entremêlais mes mots.
Du brasier de son licou, j'essayais d'enlever l'opprobre,
Le goût de ce bord dru que je te dois, doit être altier et sobre,
Demain, je me voulais patient et la trouvais connue par son habileté,
Tu m'époustoufles, son d'un cor sur un siège d'une ronde surveillée.
Vocation du vieux devin, sage au vice sans fin, contant des zonzons,
De mini humeurs, j'aime tracer sur tes mots un peu de ton prénom,
Pour t'humer tes moues par l'eunuque dans la longueur de tes vœux,
De respirer tes parfums et puis les saisir, Beaucoup ou un petit peu.
Pour tous tu veux illuminer et éliminer les pires pour une chance,
Dans ton sofa, bien tapie, tu te trémousses sur cette lie en cadence,
Tes pots de verveine te relaxent aussi des tors de tous ces fous,
D'une lueur à peine éteinte, casser les vertèbres du dos aux genoux.
Il nait dans ce cauchemar des gnons pour les imposteurs,
Martyr d'une chienne de vie, sur laquelle ton œil satyrique reste un bonheur.
Tu nous tiens ! Tiens ! Tiens ! Un cauchemar…
