Doudoune tu ne sortira pas de ma tête comme ça !!!
Au fond de tes yeux j'ai cru voir
L'étincelle de notre si belle histoire
Celle là même que tu me refuse
Celle là même que j'ai attisé ne pensant jamais à ce qu'elle s'use
De ces critiques à tes folies énigmatiques
On vivais au fond si bien sans que rien entre nous ne soit automatique
J'ai senti tes tempes frapper si fort
Et ta mémoire, revenue en arrière, repenser à ce que l'on a laissé pour mort
Souviens toi de nos ébats où nos corps frôlaient l'extase
Ou nos mains ne formaient qu'une immense caresse qui enivre et déphase
Pourtant seul, tu es heureux, pas complètement, mais...
Ce sentiment d'être incomplet et de chercher ce morceau manquent, je connais...
Viens vers moi, viens vers moi et ne pense pas
Ouvre tes bras à l'exaltante vie qui nous est promise, il n'y a qu'un pas
Volons vers cette destinée qui nous poursuit
Sous ce vent chaud de septembre et le soleil prometteur, moi je te suit
Souries, croies y et on y arrivera
A battre toutes ces idées reçues qui nous condamne, je sais qu'on les tueras
Je sens tes tempes frapper si fort
Ta mémoire, revenue en arrière, imaginer qu'elle puisse tout effacer
Laisse la place à nos prochains rêves, que l'on construira non sans efforts
Mais à la force de nos bras fusionnons, cette chance nous est enfin donnée
Ouvre tes bras, ouvre ton coeur
Laisse nous dériver en toute sérénité sans nous soucier
Du temps qui passe ou des chimères qui ne me font pas peur...
L'étincelle de notre si belle histoire
Celle là même que tu me refuse
Celle là même que j'ai attisé ne pensant jamais à ce qu'elle s'use
De ces critiques à tes folies énigmatiques
On vivais au fond si bien sans que rien entre nous ne soit automatique
J'ai senti tes tempes frapper si fort
Et ta mémoire, revenue en arrière, repenser à ce que l'on a laissé pour mort
Souviens toi de nos ébats où nos corps frôlaient l'extase
Ou nos mains ne formaient qu'une immense caresse qui enivre et déphase
Pourtant seul, tu es heureux, pas complètement, mais...
Ce sentiment d'être incomplet et de chercher ce morceau manquent, je connais...
Viens vers moi, viens vers moi et ne pense pas
Ouvre tes bras à l'exaltante vie qui nous est promise, il n'y a qu'un pas
Volons vers cette destinée qui nous poursuit
Sous ce vent chaud de septembre et le soleil prometteur, moi je te suit
Souries, croies y et on y arrivera
A battre toutes ces idées reçues qui nous condamne, je sais qu'on les tueras
Je sens tes tempes frapper si fort
Ta mémoire, revenue en arrière, imaginer qu'elle puisse tout effacer
Laisse la place à nos prochains rêves, que l'on construira non sans efforts
Mais à la force de nos bras fusionnons, cette chance nous est enfin donnée
Ouvre tes bras, ouvre ton coeur
Laisse nous dériver en toute sérénité sans nous soucier
Du temps qui passe ou des chimères qui ne me font pas peur...