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ET JE PUS L'EMBRASSER

#1
ET JE PUS L’EMBRASSER.

Elle restait figée dans une ultime vision. Il semblait qu’elle regardât plus loin, et même plus. Ce n’était qu’une attitude, bien sûr ! Son regard avait tout embrassé d’un seul coup : l’ivresse l’avait perdu ; à bien l’observer, on pouvait déceler une larme sans éclat qui témoignait de sa dernière émotion. Là, immobile, elle arborait le geste fataliste de l’immuabilité. En elle, un cœur de pierre devait battre l’inertie de l’éternité : une de ces pensées, venant des profondeurs de l’esprit, proclamée « certitude ».Qu’avais-je à faire de ses silences ? Et si elle eût parlé, qu’aurais-je perçu de ses doutes ?
Elle posait nue, tranquille, indécente, et cependant absente. Elle ne réclamait rien. Elle s’offrait sans jamais se délivrer. L’amour sans plaisir, pour elle, c’était une habitude. Aucune caresse n’aurait pu entamer la carapace séculaire de sa beauté marmoréenne. Mon poing serré j’imaginais son réveil : un frisson, un sourire, répondant à mes caresses. Humainement, pour elle, cela eût été impossible : trop tendre sous mes doigts, ne se serait-elle pas effritée ? Même en usant de mille artifices, l’âge n’eût pas su séduire la froide apparence de sa réalité.
Elle posait pour la postérité, telle cette idée de la femme façonnée par les mains de l’homme. Toutes les idées avancent…Pourtant, les mots mouraient sur ses lèvres exsangues. Féconde, elle avait pour mission d’émerveiller les âmes sans jamais défaillir. Avec ou sans âme qui vive, elle restait figée dans une ultime vision, comme s’affichent les statues impassibles. Elle regardait au loin. Soudain, un rayon de lumière jaillissant d’un massif de roses la rendit fragile .Et je pus l’embrasser.

Pierre WATTEBLED le 27 mars 2009

ET JE PUS L’EMBRASSER.

Elle restait figée dans une ultime vision. Il semblait qu’elle regardât plus loin, et même plus. Ce n’était qu’une attitude, bien sûr ! Son regard avait tout embrassé d’un seul coup : l’ivresse l’avait perdu ; à bien l’observer, on pouvait déceler une larme sans éclat qui témoignait de sa dernière émotion. Là, immobile, elle arborait le geste fataliste de l’immuabilité. En elle, un cœur de pierre devait battre l’inertie de l’éternité : une de ces pensées, venant des profondeurs de l’esprit, proclamée « certitude ».Qu’avais-je à faire de ses silences ? Et si elle eût parlé, qu’aurais-je perçu de ses doutes ?
Elle posait nue, tranquille, indécente, et cependant absente. Elle ne réclamait rien. Elle s’offrait sans jamais se délivrer. L’amour sans plaisir, pour elle, c’était une habitude. Aucune caresse n’aurait pu entamer la carapace séculaire de sa beauté marmoréenne. Mon poing serré j’imaginais son réveil : un frisson, un sourire, répondant à mes caresses. Humainement, pour elle, cela eût été impossible : trop tendre sous mes doigts, ne se serait-elle pas effritée ? Même en usant de mille artifices, l’âge n’eût pas su séduire la froide apparence de sa réalité.
Elle posait pour la postérité, telle cette idée de la femme façonnée par les mains de l’homme. Toutes les idées avancent…Pourtant, les mots mouraient sur ses lèvres exsangues. Féconde, elle avait pour mission d’émerveiller les âmes sans jamais défaillir. Avec ou sans âme qui vive, elle restait figée dans une ultime vision, comme s’affichent les statues impassibles. Elle regardait au loin. Soudain, un rayon de lumière jaillissant d’un massif de roses la rendit fragile .Et je pus l’embrasser.

Pierre WATTEBLED le 27 mars 2009

ET JE PUS L’EMBRASSER.

Elle restait figée dans une ultime vision. Il semblait qu’elle regardât plus loin, et même plus. Ce n’était qu’une attitude, bien sûr ! Son regard avait tout embrassé d’un seul coup : l’ivresse l’avait perdu ; à bien l’observer, on pouvait déceler une larme sans éclat qui témoignait de sa dernière émotion. Là, immobile, elle arborait le geste fataliste de l’immuabilité. En elle, un cœur de pierre devait battre l’inertie de l’éternité : une de ces pensées, venant des profondeurs de l’esprit, proclamée « certitude ».Qu’avais-je à faire de ses silences ? Et si elle eût parlé, qu’aurais-je perçu de ses doutes ?
Elle posait nue, tranquille, indécente, et cependant absente. Elle ne réclamait rien. Elle s’offrait sans jamais se délivrer. L’amour sans plaisir, pour elle, c’était une habitude. Aucune caresse n’aurait pu entamer la carapace séculaire de sa beauté marmoréenne. Mon poing serré j’imaginais son réveil : un frisson, un sourire, répondant à mes caresses. Humainement, pour elle, cela eût été impossible : trop tendre sous mes doigts, ne se serait-elle pas effritée ? Même en usant de mille artifices, l’âge n’eût pas su séduire la froide apparence de sa réalité.
Elle posait pour la postérité, telle cette idée de la femme façonnée par les mains de l’homme. Toutes les idées avancent…Pourtant, les mots mouraient sur ses lèvres exsangues. Féconde, elle avait pour mission d’émerveiller les âmes sans jamais défaillir. Avec ou sans âme qui vive, elle restait figée dans une ultime vision, comme s’affichent les statues impassibles. Elle regardait au loin. Soudain, un rayon de lumière jaillissant d’un massif de roses la rendit fragile .Et je pus l’embrasser.

Pierre WATTEBLED le 27 mars 2009

ET JE PUS L’EMBRASSER.

Elle restait figée dans une ultime vision. Il semblait qu’elle regardât plus loin, et même plus. Ce n’était qu’une attitude, bien sûr ! Son regard avait tout embrassé d’un seul coup : l’ivresse l’avait perdu ; à bien l’observer, on pouvait déceler une larme sans éclat qui témoignait de sa dernière émotion. Là, immobile, elle arborait le geste fataliste de l’immuabilité. En elle, un cœur de pierre devait battre l’inertie de l’éternité : une de ces pensées, venant des profondeurs de l’esprit, proclamée « certitude ».Qu’avais-je à faire de ses silences ? Et si elle eût parlé, qu’aurais-je perçu de ses doutes ?
Elle posait nue, tranquille, indécente, et cependant absente. Elle ne réclamait rien. Elle s’offrait sans jamais se délivrer. L’amour sans plaisir, pour elle, c’était une habitude. Aucune caresse n’aurait pu entamer la carapace séculaire de sa beauté marmoréenne. Mon poing serré j’imaginais son réveil : un frisson, un sourire, répondant à mes caresses. Humainement, pour elle, cela eût été impossible : trop tendre sous mes doigts, ne se serait-elle pas effritée ? Même en usant de mille artifices, l’âge n’eût pas su séduire la froide apparence de sa réalité.
Elle posait pour la postérité, telle cette idée de la femme façonnée par les mains de l’homme. Toutes les idées avancent…Pourtant, les mots mouraient sur ses lèvres exsangues. Féconde, elle avait pour mission d’émerveiller les âmes sans jamais défaillir. Avec ou sans âme qui vive, elle restait figée dans une ultime vision, comme s’affichent les statues impassibles. Elle regardait au loin. Soudain, un rayon de lumière jaillissant d’un massif de roses la rendit fragile .Et je pus l’embrasser.

Pierre WATTEBLED le 27 mars 2009

ET JE PUS L’EMBRASSER.

Elle restait figée dans une ultime vision. Il semblait qu’elle regardât plus loin, et même plus. Ce n’était qu’une attitude, bien sûr ! Son regard avait tout embrassé d’un seul coup : l’ivresse l’avait perdu ; à bien l’observer, on pouvait déceler une larme sans éclat qui témoignait de sa dernière émotion. Là, immobile, elle arborait le geste fataliste de l’immuabilité. En elle, un cœur de pierre devait battre l’inertie de l’éternité : une de ces pensées, venant des profondeurs de l’esprit, proclamée « certitude ».Qu’avais-je à faire de ses silences ? Et si elle eût parlé, qu’aurais-je perçu de ses doutes ?
Elle posait nue, tranquille, indécente, et cependant absente. Elle ne réclamait rien. Elle s’offrait sans jamais se délivrer. L’amour sans plaisir, pour elle, c’était une habitude. Aucune caresse n’aurait pu entamer la carapace séculaire de sa beauté marmoréenne. Mon poing serré j’imaginais son réveil : un frisson, un sourire, répondant à mes caresses. Humainement, pour elle, cela eût été impossible : trop tendre sous mes doigts, ne se serait-elle pas effritée ? Même en usant de mille artifices, l’âge n’eût pas su séduire la froide apparence de sa réalité.
Elle posait pour la postérité, telle cette idée de la femme façonnée par les mains de l’homme. Toutes les idées avancent…Pourtant, les mots mouraient sur ses lèvres exsangues. Féconde, elle avait pour mission d’émerveiller les âmes sans jamais défaillir. Avec ou sans âme qui vive, elle restait figée dans une ultime vision, comme s’affichent les statues impassibles. Elle regardait au loin. Soudain, un rayon de lumière jaillissant d’un massif de roses la rendit fragile .Et je pus l’embrasser.

Pierre WATTEBLED le 27 mars 2009

ET JE PUS L’EMBRASSER.

Elle restait figée dans une ultime vision. Il semblait qu’elle regardât plus loin, et même plus. Ce n’était qu’une attitude, bien sûr ! Son regard avait tout embrassé d’un seul coup : l’ivresse l’avait perdu ; à bien l’observer, on pouvait déceler une larme sans éclat qui témoignait de sa dernière émotion. Là, immobile, elle arborait le geste fataliste de l’immuabilité. En elle, un cœur de pierre devait battre l’inertie de l’éternité : une de ces pensées, venant des profondeurs de l’esprit, proclamée « certitude ».Qu’avais-je à faire de ses silences ? Et si elle eût parlé, qu’aurais-je perçu de ses doutes ?
Elle posait nue, tranquille, indécente, et cependant absente. Elle ne réclamait rien. Elle s’offrait sans jamais se délivrer. L’amour sans plaisir, pour elle, c’était une habitude. Aucune caresse n’aurait pu entamer la carapace séculaire de sa beauté marmoréenne. Mon poing serré j’imaginais son réveil : un frisson, un sourire, répondant à mes caresses. Humainement, pour elle, cela eût été impossible : trop tendre sous mes doigts, ne se serait-elle pas effritée ? Même en usant de mille artifices, l’âge n’eût pas su séduire la froide apparence de sa réalité.
Elle posait pour la postérité, telle cette idée de la femme façonnée par les mains de l’homme. Toutes les idées avancent…Pourtant, les mots mouraient sur ses lèvres exsangues. Féconde, elle avait pour mission d’émerveiller les âmes sans jamais défaillir. Avec ou sans âme qui vive, elle restait figée dans une ultime vision, comme s’affichent les statues impassibles. Elle regardait au loin. Soudain, un rayon de lumière jaillissant d’un massif de roses la rendit fragile .Et je pus l’embrasser.

Pierre WATTEBLED le 27 mars 2009

ET JE PUS L’EMBRASSER.

Elle restait figée dans une ultime vision. Il semblait qu’elle regardât plus loin, et même plus. Ce n’était qu’une attitude, bien sûr ! Son regard avait tout embrassé d’un seul coup : l’ivresse l’avait perdu ; à bien l’observer, on pouvait déceler une larme sans éclat qui témoignait de sa dernière émotion. Là, immobile, elle arborait le geste fataliste de l’immuabilité. En elle, un cœur de pierre devait battre l’inertie de l’éternité : une de ces pensées, venant des profondeurs de l’esprit, proclamée « certitude ».Qu’avais-je à faire de ses silences ? Et si elle eût parlé, qu’aurais-je perçu de ses doutes ?
Elle posait nue, tranquille, indécente, et cependant absente. Elle ne réclamait rien. Elle s’offrait sans jamais se délivrer. L’amour sans plaisir, pour elle, c’était une habitude. Aucune caresse n’aurait pu entamer la carapace séculaire de sa beauté marmoréenne. Mon poing serré j’imaginais son réveil : un frisson, un sourire, répondant à mes caresses. Humainement, pour elle, cela eût été impossible : trop tendre sous mes doigts, ne se serait-elle pas effritée ? Même en usant de mille artifices, l’âge n’eût pas su séduire la froide apparence de sa réalité.
Elle posait pour la postérité, telle cette idée de la femme façonnée par les mains de l’homme. Toutes les idées avancent…Pourtant, les mots mouraient sur ses lèvres exsangues. Féconde, elle avait pour mission d’émerveiller les âmes sans jamais défaillir. Avec ou sans âme qui vive, elle restait figée dans une ultime vision, comme s’affichent les statues impassibles. Elle regardait au loin. Soudain, un rayon de lumière jaillissant d’un massif de roses la rendit fragile .Et je pus l’embrasser.

Pierre WATTEBLED le 27 mars 2009

ET JE PUS L’EMBRASSER.

Elle restait figée dans une ultime vision. Il semblait qu’elle regardât plus loin, et même plus. Ce n’était qu’une attitude, bien sûr ! Son regard avait tout embrassé d’un seul coup : l’ivresse l’avait perdu ; à bien l’observer, on pouvait déceler une larme sans éclat qui témoignait de sa dernière émotion. Là, immobile, elle arborait le geste fataliste de l’immuabilité. En elle, un cœur de pierre devait battre l’inertie de l’éternité : une de ces pensées, venant des profondeurs de l’esprit, proclamée « certitude ».Qu’avais-je à faire de ses silences ? Et si elle eût parlé, qu’aurais-je perçu de ses doutes ?
Elle posait nue, tranquille, indécente, et cependant absente. Elle ne réclamait rien. Elle s’offrait sans jamais se délivrer. L’amour sans plaisir, pour elle, c’était une habitude. Aucune caresse n’aurait pu entamer la carapace séculaire de sa beauté marmoréenne. Mon poing serré j’imaginais son réveil : un frisson, un sourire, répondant à mes caresses. Humainement, pour elle, cela eût été impossible : trop tendre sous mes doigts, ne se serait-elle pas effritée ? Même en usant de mille artifices, l’âge n’eût pas su séduire la froide apparence de sa réalité.
Elle posait pour la postérité, telle cette idée de la femme façonnée par les mains de l’homme. Toutes les idées avancent…Pourtant, les mots mouraient sur ses lèvres exsangues. Féconde, elle avait pour mission d’émerveiller les âmes sans jamais défaillir. Avec ou sans âme qui vive, elle restait figée dans une ultime vision, comme s’affichent les statues impassibles. Elle regardait au loin. Soudain, un rayon de lumière jaillissant d’un massif de roses la rendit fragile .Et je pus l’embrasser.

Pierre WATTEBLED le 27 mars 2009

ET JE PUS L’EMBRASSER.

Elle restait figée dans une ultime vision. Il semblait qu’elle regardât plus loin, et même plus. Ce n’était qu’une attitude, bien sûr ! Son regard avait tout embrassé d’un seul coup : l’ivresse l’avait perdu ; à bien l’observer, on pouvait déceler une larme sans éclat qui témoignait de sa dernière émotion. Là, immobile, elle arborait le geste fataliste de l’immuabilité. En elle, un cœur de pierre devait battre l’inertie de l’éternité : une de ces pensées, venant des profondeurs de l’esprit, proclamée « certitude ».Qu’avais-je à faire de ses silences ? Et si elle eût parlé, qu’aurais-je perçu de ses doutes ?
Elle posait nue, tranquille, indécente, et cependant absente. Elle ne réclamait rien. Elle s’offrait sans jamais se délivrer. L’amour sans plaisir, pour elle, c’était une habitude. Aucune caresse n’aurait pu entamer la carapace séculaire de sa beauté marmoréenne. Mon poing serré j’imaginais son réveil : un frisson, un sourire, répondant à mes caresses. Humainement, pour elle, cela eût été impossible : trop tendre sous mes doigts, ne se serait-elle pas effritée ? Même en usant de mille artifices, l’âge n’eût pas su séduire la froide apparence de sa réalité.
Elle posait pour la postérité, telle cette idée de la femme façonnée par les mains de l’homme. Toutes les idées avancent…Pourtant, les mots mouraient sur ses lèvres exsangues. Féconde, elle avait pour mission d’émerveiller les âmes sans jamais défaillir. Avec ou sans âme qui vive, elle restait figée dans une ultime vision, comme s’affichent les statues impassibles. Elle regardait au loin. Soudain, un rayon de lumière jaillissant d’un massif de roses la rendit fragile .Et je pus l’embrasser.

ET JE PUS L’EMBRASSER.

Elle restait figée dans une ultime vision. Il semblait qu’elle regardât plus loin, et même plus. Ce n’était qu’une attitude, bien sûr ! Son regard avait tout embrassé d’un seul coup : l’ivresse l’avait perdu ; à bien l’observer, on pouvait déceler une larme sans éclat qui témoignait de sa dernière émotion. Là, immobile, elle arborait le geste fataliste de l’immuabilité. En elle, un cœur de pierre devait battre l’inertie de l’éternité : une de ces pensées, venant des profondeurs de l’esprit, proclamée « certitude ».Qu’avais-je à faire de ses silences ? Et si elle eût parlé, qu’aurais-je perçu de ses doutes ?
Elle posait nue, tranquille, indécente, et cependant absente. Elle ne réclamait rien. Elle s’offrait sans jamais se délivrer. L’amour sans plaisir, pour elle, c’était une habitude. Aucune caresse n’aurait pu entamer la carapace séculaire de sa beauté marmoréenne. Mon poing serré j’imaginais son réveil : un frisson, un sourire, répondant à mes caresses. Humainement, pour elle, cela eût été impossible : trop tendre sous mes doigts, ne se serait-elle pas effritée ? Même en usant de mille artifices, l’âge n’eût pas su séduire la froide apparence de sa réalité.
Elle posait pour la postérité, telle cette idée de la femme façonnée par les mains de l’homme. Toutes les idées avancent…Pourtant, les mots mouraient sur ses lèvres exsangues. Féconde, elle avait pour mission d’émerveiller les âmes sans jamais défaillir. Avec ou sans âme qui vive, elle restait figée dans une ultime vision, comme s’affichent les statues impassibles. Elle regardait au loin. Soudain, un rayon de lumière jaillissant d’un massif de roses la rendit fragile .Et je pus l’embrasser.

Pierre WATTEBLED le 27 mars 2009
 

mucochris

Nouveau poète
#2
eclatant damour digne dun roman fait pour les gens romantiques, fleur bleue comme je le suis,j'adore tes textes, je vote et te mets dans la liste de mes amis, a bientot