Je ne parlerais pas ce matin de l’averse.
Mais ma muse m’inspire un poème charmant
Qui réveille une plume au soupir acclamant,
En mon âme ravie et ma flamme converse.
Mais ma muse m’inspire un poème charmant
Qui réveille une plume au soupir acclamant,
En mon âme ravie et ma flamme converse.
De troubler mon époux de briller le renverse
Chaque soir de rêver, il y pense vraiment,
Mais devant le miroir il s’endort gentiment,
En mon âme ravie et ma flamme converse.
Chaque soir de rêver, il y pense vraiment,
Mais devant le miroir il s’endort gentiment,
En mon âme ravie et ma flamme converse.
De frôler le clavier mon calame déverse,
Sur le vélin noirci, la peur me consumant
Et la lune se noie au désir d’un amant,
En mon âme ravie et ma flamme converse.
Sur le vélin noirci, la peur me consumant
Et la lune se noie au désir d’un amant,
En mon âme ravie et ma flamme converse.
Je ne parlerais pas ce matin de l’averse
En mon âme ravie et ma flamme converse.
En mon âme ravie et ma flamme converse.
Maria-Dolores