L’amour n’a pas d’horizon, il est fils de l’oraison où plane l’unique, à la divine raison.
L’assise littéraire est fondée sur une vision structurée qui rassemble tous les arts, et s’assimile à la nature.
Les mots peu usités, les expressions entendues mille fois, permettent aux faiblards d’une langue d’assoir une maîtrise linguistique qu’ils ne possèdent pas. Ils n’hésitent pas en ce moment à employer les mots à la mode, pragmatique, altruisme, réthorique, et bien entendu, ils entendent tous bien, à l’image de notre président.
L’entité perd vite son identité.
L’outrecuidance est un terme littéral qui en cadence ne manque pas de pertinence.
Lorsqu’on supprime les petites ramifications on ne doit pas ensuite s’étonner que les grandes soient de moins en moins vigoureuses.
Les autrices sont à la hauteur
des auteurs et parfois même les surpassent.
Tant l’emporte le masculin sur le féminin qu’à la fin il finit par prendre la porte.
Vous pensez avoir raison, est-ce bien raisonnable.
Liberté, égalité, fraternité, je fleuris votre tombe.
La liberté ne supporte pas les frontières.
Aimer finit tôt ou tard par poser des problèmes.
Quand l’amour devient douleur on mesure pleinement sa puissance.
L’état d’expiation temporaire reste une illusion mystique semblable à la poudre de perlimpinpin agitée qui prend son vol dans l’encensoir.
La grande faucheuse chère aux poètes
devrait éviter les pauvres gens qui ont toujours vécu fauchés.
J’attends la mort tous les jours, aura t-elle l’indulgence de me pardonner cette impatience.
Celui qui connaît l’enfer sur terre n’a plus qu’à découvrir son paradis.
L’œuvre qui touche à la perfection et qui ne sera jamais égalée est celle que nous offre gratuitement jour après jour la nature.
Peut-on être jaloux comme un poux, ou s’ennuyer comme un rat mort ?.
Ne vous hâtez-pas de vieillir, arrivera fatalement l’heure fatidique, où pour vous, plus rien n’aura d’importance.
Le poète sait transcrire l’indescriptible, palper l’impalpable, visionner l’invisible.
Mes lointains souvenirs raniment des pensées aux effluves amères.
Les sans abris sont aussi sensibles au chaud qu’au froid, c’est un constat glaçant.
Vouloir c’est savoir attendre pour la majorité d’entre-nous.
Vous reconnaîtrez un sage à ses décisions détonantes, qui vont à contre courant de l’opinion de tous.
Le diable a ses adeptes ils attisent pour lui la surchauffe.
Heureux celui qui n’a connu qu’une saison en enfer.
La souffrance a été ma princesse, la folie est restée mon hôtesse, la sagesse je le confesse a su dompter ma tigresse sauvagesse.
Le malheur contrairement au bonheur reste très accessible alors continuez à être raisonnable.
Longtemps je me suis dit ; j’habite un pays de cons...et bien non, le mal est mondial !.
Arrêtez de procréer est une sage décision qui devrait être au programme de toutes les bonnes écoles.
L’auto-suicide de sapiens aura des conséquences dramatique sur la faune et la flore qui ne lui a rien demandé.
Il ne faut pas confondre parler une langue, avec la posséder.
Et pendant ce temps là, dieu désœuvré se cache dans
son œuvre.
Para un jour, para toujours : proverbe paraguayen.
Fuir le présent n’est plus un acte de lâcheté.
Si vous croyez à la bonne vérité, vous êtes riche en variétés.
La force universelle est l’œuvre de Dieu, l’énergie libre invisible ainsi animée est divinement puissante.
La principale richesse il faut la voir dans la lumière.
Un délicat pessimisme préfère toujours aux chardons du chemin, les fleurs de l’idéal.
Prenez garde à votre compagne, si tout à coup sans raison, elle se met à vous tutoyer.
La poésie sans âme est d’une mollesse infinie.
On ne devient pas poète, on naît poète.
La fleur du sentiment est animée au cœur même de l’âme.
Le manque d’humour est dû à une déficience mentale grave, qui devrait être prise en charge à cent pour cent par la sécurité sociale.
Si un jour de perds connaissance, ne vous inquiétez pas j’ai fait une sauvegarde, elle se trouve sur un bout de papier dans mon porte-carte.
L’écriture est un don à ne pas mettre entre les mains d’un manchot...il faut bien que je me détende un peu.
Les nuages chargés de froides larmes cristallines s’amassaient sur le flanc desséché de l’ancien glacier, laissant croire au hasard d’un éclair lumineux, au miracle de sa renaissance.
Seules les émotions fortes et les sentiments assez violents prennent une expression remarquable au cœur d’un écrit.
Il faut fuir la prolifération des images et du son, les marteaux piqueurs médiatiques secouent dangereusement la marche sereine du monde.
L’assise littéraire est fondée sur une vision structurée qui rassemble tous les arts, et s’assimile à la nature.
Les mots peu usités, les expressions entendues mille fois, permettent aux faiblards d’une langue d’assoir une maîtrise linguistique qu’ils ne possèdent pas. Ils n’hésitent pas en ce moment à employer les mots à la mode, pragmatique, altruisme, réthorique, et bien entendu, ils entendent tous bien, à l’image de notre président.
L’entité perd vite son identité.
L’outrecuidance est un terme littéral qui en cadence ne manque pas de pertinence.
Lorsqu’on supprime les petites ramifications on ne doit pas ensuite s’étonner que les grandes soient de moins en moins vigoureuses.
Les autrices sont à la hauteur
des auteurs et parfois même les surpassent.
Tant l’emporte le masculin sur le féminin qu’à la fin il finit par prendre la porte.
Vous pensez avoir raison, est-ce bien raisonnable.
Liberté, égalité, fraternité, je fleuris votre tombe.
La liberté ne supporte pas les frontières.
Aimer finit tôt ou tard par poser des problèmes.
Quand l’amour devient douleur on mesure pleinement sa puissance.
L’état d’expiation temporaire reste une illusion mystique semblable à la poudre de perlimpinpin agitée qui prend son vol dans l’encensoir.
La grande faucheuse chère aux poètes
devrait éviter les pauvres gens qui ont toujours vécu fauchés.
J’attends la mort tous les jours, aura t-elle l’indulgence de me pardonner cette impatience.
Celui qui connaît l’enfer sur terre n’a plus qu’à découvrir son paradis.
L’œuvre qui touche à la perfection et qui ne sera jamais égalée est celle que nous offre gratuitement jour après jour la nature.
Peut-on être jaloux comme un poux, ou s’ennuyer comme un rat mort ?.
Ne vous hâtez-pas de vieillir, arrivera fatalement l’heure fatidique, où pour vous, plus rien n’aura d’importance.
Le poète sait transcrire l’indescriptible, palper l’impalpable, visionner l’invisible.
Mes lointains souvenirs raniment des pensées aux effluves amères.
Les sans abris sont aussi sensibles au chaud qu’au froid, c’est un constat glaçant.
Vouloir c’est savoir attendre pour la majorité d’entre-nous.
Vous reconnaîtrez un sage à ses décisions détonantes, qui vont à contre courant de l’opinion de tous.
Le diable a ses adeptes ils attisent pour lui la surchauffe.
Heureux celui qui n’a connu qu’une saison en enfer.
La souffrance a été ma princesse, la folie est restée mon hôtesse, la sagesse je le confesse a su dompter ma tigresse sauvagesse.
Le malheur contrairement au bonheur reste très accessible alors continuez à être raisonnable.
Longtemps je me suis dit ; j’habite un pays de cons...et bien non, le mal est mondial !.
Arrêtez de procréer est une sage décision qui devrait être au programme de toutes les bonnes écoles.
L’auto-suicide de sapiens aura des conséquences dramatique sur la faune et la flore qui ne lui a rien demandé.
Il ne faut pas confondre parler une langue, avec la posséder.
Et pendant ce temps là, dieu désœuvré se cache dans
son œuvre.
Para un jour, para toujours : proverbe paraguayen.
Fuir le présent n’est plus un acte de lâcheté.
Si vous croyez à la bonne vérité, vous êtes riche en variétés.
La force universelle est l’œuvre de Dieu, l’énergie libre invisible ainsi animée est divinement puissante.
La principale richesse il faut la voir dans la lumière.
Un délicat pessimisme préfère toujours aux chardons du chemin, les fleurs de l’idéal.
Prenez garde à votre compagne, si tout à coup sans raison, elle se met à vous tutoyer.
La poésie sans âme est d’une mollesse infinie.
On ne devient pas poète, on naît poète.
La fleur du sentiment est animée au cœur même de l’âme.
Le manque d’humour est dû à une déficience mentale grave, qui devrait être prise en charge à cent pour cent par la sécurité sociale.
Si un jour de perds connaissance, ne vous inquiétez pas j’ai fait une sauvegarde, elle se trouve sur un bout de papier dans mon porte-carte.
L’écriture est un don à ne pas mettre entre les mains d’un manchot...il faut bien que je me détende un peu.
Les nuages chargés de froides larmes cristallines s’amassaient sur le flanc desséché de l’ancien glacier, laissant croire au hasard d’un éclair lumineux, au miracle de sa renaissance.
Seules les émotions fortes et les sentiments assez violents prennent une expression remarquable au cœur d’un écrit.
Il faut fuir la prolifération des images et du son, les marteaux piqueurs médiatiques secouent dangereusement la marche sereine du monde.
Dernière édition:
