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Résultat du concours Esprit (s)

#1
Concours :
« Esprit (s) »
Du 27 octobre au 25 novembre
Résultats 29 novembre


esprit.jpg





Thème : que vous inspire le mot « Esprit (s) »

En avoir, en être dépourvu, l’avoir bon ou mauvais, l’avoir ailleurs ou celui d’équipe, large ou étroit….Esprit es-tu là ??


Consignes :

Choisir un titre original et percutant .

Toutes formes acceptées.
Attention à l’orthographe, aux répétitions et à la ponctuation !


Attendre les résultats avant de poster les poèmes participants sur votre page.

Chaque concurrent pourra envoyer trois poèmes.

Vous pouvez également participer en hors concours.

Envoi de vos participations sur ma MP.

Comme vous devez- vous en douter : BESOIN DE JUGES !!! Me contacter sur ma MP.



*********************


Médaille d'Or TIERAM 9.4
Médaille d'Argent WILLIAM LECORNIER 9.11
Médaille de Bronze WILLIAM LECORNIER 9.08


1 Belles croisades des esprits ANGEPAPILLONNANOU 7.17

Dés lors que les multiples ressentis trouvent les cœurs,
Là, ils tentent en vain de s'y faire une place, une esplanade,
Où par les temps passés ils se voyaient et s'accordaient des embrassades,
Autour d'un vieux banc de bois abîmé sous les saules pleureurs,
En ces temps là, les esprits qui venaient s'encrer en eux étaient en partages,
Chacun par bonheur, se sentait eux-mêmes appréciés et libres
Ce fut aux yeux de ces jeunes du passé un bel équilibre,
Se remémoraient encore cette époque malgré l'avancé de leurs âges,
En eux tous restent des instants qui leurs semblaient fraternels,
A travers ceux-là régnaient de multiples beaux souvenirs merveilleux,
Leur groupe d'amis démontrait combien ils étaient très liés et si joyeux,
Ils savaient être heureux ensemble au point d'être complices et fusionnels,
C'est ainsi qu'entres eux pouvaient luire tout ces beaux esprits,
Ceux grâce auxquels se trouvaient de nombreuses et agréables rencontres,
Qu' ils fassent en sorte que nul ne puisse aller à l'encontre,
Laisser tranquille les divins esprits aux tendres cœurs si épris,
Se retrouvent avec émotions sur les mêmes longueurs d'ondes,
Embaument leurs cœurs de très beaux et profonds sentiments,
Ensemble éclairer les voix immenses et interminables du joli firmament,
Sous les ardeurs du soleil brûlant jusqu'aux fines lueurs de la lune blonde.
Puissent-ils se sentir au cœur d'une tendre harmonie et tous proches,
Le temps de leurs belles croisade où les esprits se font si doux,
Leurs cœurs tambourinent sous leurs poitrines comme des fous,

Alors que seuls les regards de tout les esprits se caressent et s'accrochent.

Un titre pour des esprits fusionnels !
Attention à la concordance de temps, un peu trop de fautes…
Les esprits qui venaient s’ancrer étaient en partage/ chacun se sentaitlui-même/ malgré l’avancée/ en eux tout reste….
Une belle communion d’esprits
Pour les consignes le titre ok, la forme étant libre vous avez opté pour des rimes croisées ABBA sans alternance F/M et à la métrique libre, attention « rencontre et l’encontre » la rime n’est pas valable un mot ne peut rimer avec lui même ou ses dérivés, « se remémoraient » pour moi petite erreur de temps dans ce vers, le participe présent aurait été préférable, « leurs belles croisade » oubli du « s »,
« tout les esprits » « tous » avec « s »
On peut dire que votre texte ne manque pas d’esprit, l’esprit de la jeunesse, l’esprit de la fête, l’esprit de l’amitié, l’esprit du temps, l’esprit divin, une idée original que ces jeunes vieux
une texte original mais j’avoue m’y être quelque peu perdu, mais des jolis vers et des belle tournures




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2 Chair et raison, grossièreté des esprits. LURON 1er 7.6

C’est l’esprit léger que j’entreprends cet écrit,
Pour ensemble partager un petit coin d’humour,
Et pour tous, éviter tous les horribles cris,
Avec en pensée, la raison de mon âme d’amour.


Absence de connaissance, compensée par l’imagination,
J’ai une pensée de génie sans faire un texte d’humeur,
Et de tous, vous inciter à une disposition à la réflexion,
L’âme et l’essence de mon goût pour un plus de bonheur.


La mentalité du cœur est l’intelligence de la tête,
Le cerveau interprète le goût, le souffle du démon,
Démonté par les dieux, le diable ne fait pas la fête,
Quand la grâce est le caractère du spectre polisson.


Les revenants ont verve et malice de l’humour,
Otant la lourdeur de la réalité par la légèreté des rêves,
La vivacité des fantômes brillants en fol amour,
Des fées à la foi ont l’entendement et la conscience en trêve.


La chair et la raison ne sont que la grossièreté des esprits,
Mais avec vous, j’ai appris le prix des mots d’esprit.

Fort belle conclusion dans ce récit qui ne manque pas de charme…
Consignes le titre ok, toutes formes acceptées vous avez opté pour une forme en rimes croisées ABAB, à la métrique libre et sans alternance f/m, bien que ce soit voulu et le comprend bien dans vos 2 derniers vers « esprits/esprit » à savoir un mot ne peut rimer avec lui même, de même vous utilisez 2 fois les même rimes dans deux quatrains différents « humour/amour » ce qui est mal venue et fait répétition.
Tout est dit vous abordez ce sujet avec légèreté vous avez l’esprit farceur, voir taquin vous avertissez sûrement le correcteur à travers ce vers « Absence de connaissance, compensée par l’imagination, » un texte pleins d’esprits, le bel esprit s’y rencontre comme les mauvais esprits,
un poème original belle réflexion à humour léger


****************

3 Quand s'évade l'esprit. WILLIAM LECORNIER 9

Quand le soir dans ma chambre en solo, je m'ennuie,
Je me laisse guider par l'étrange hasard,
Voyant se défiler le parcours de ma vie,
Quand mon esprit divague au milieu du brouillard.


Dans mes évasions en pleine rêverie,
Je vois surgir soudain, cet affreux cauchemar,
Perturbant le sommeil de mes nuits d'insomnie,
M'emmenant loin d'ici, pour aller nulle part.


Et quand vient le matin, avant que je m'éveille,
Je revois ces moments pendant que je sommeille,
Retraçant en détail tous ces instants passés.


Dans lesquels quelquefois mon ego s'émerveille,
En visualisant les rêves de la veille,
Ainsi, en retrouvant mes esprits reposés.


Titre bien trouvé, un magnifique poème tout en harmonie
consignes pour le titre ça passe, pour la forme vous avez choisi un sonnet, travail exigeant des alexandrins, il me semble correctement construit, mais il réclame la qualité de la rime et hélas vos rimes en « ie » sont des rimes faibles ainsi que la rime en « és» dommage, mais je n’en tiens que peu compte pour ma notation, les consignes ne l’exigeant pas et pour une équité par rapport à d’autre formes plus souples
Vous avez l’esprit vagabond, rêveur, parfois quelques mauvais esprits viennent vous faire faire des cauchemars, votre subconscient n’a pas l’esprit tranquille mais puisque vous le dite vous vous réveillez l’esprit reposés, tout va bien, bien dans le sujet
Un poème agréable à lire, un beau sonnet, bien que le dernier vers me gêne un peu je ne serai dire exactement peut être du fait que vous utilisez déjà le participe présent au vers précédent je m’attend peut être à trouver une action au présent


******************

4 Ces esprits ancrés dans les âmes ANGEPAPILLONNANOU 7.36

Les mois hivernaux arrivent et gèlent certaines peaux qui frissonnent,
Les vents qui furent chaque jour un peu plus froid dans l'air et se façonnent,
Encore quelques journées d'octobre et novembre pour profiter de l'automne,
Avant que commencent à craqueler les sols glacés par les premières gelées,
Le ciel caché derrière les brumes n'arrive à peine à totalement se dévoilé,
Seuls esprits qui restent sont ceux de quelques tendres cœurs emmêlés,
Autour des êtres errant dehors tourbillonnent et tombent les feuilles mortes,
Lorsque les vents se lèvent et se mettent à souffler, dans leurs élans ils les portent,
Alors que s'annoncent des averses de pluies diluviennes, torrentielles et fortes,
Juste les esprits peuvent encore occuper et réchauffer d'eux-mêmes les âmes frêles,
De leurs foyers emplis de chaleurs qui y attendent que passent les neiges éternelles,
Devant les esprits se forment de multiples immenses paysages réels
La fin d'année vient jour après jour émaner tout ses parfums
Les journées comblées de chaleur touchent peu à peu à leurs fin,
En toutes âmes se trouvent les esprits des fêtes d'halloween et les défunts,
Avant les dernières fêtes où tout ceux qui s'aiment sont réunis ensemble,
De joies, d'émotions, et d'amour, de belles âmes tremblent,
Grâce à ces beaux et grands esprits qui quelques part se ressemblent.
Deux formes d'esprits, ces deux jours trente et un octobre et premier novembre si gris,
Parcourir les rues et frapper aux portes voisines pour recueillir de sucreries,
Malgré les pensées vers les chers défunts que jamais personne n'oublie ces enfants qui sourient.


Beau titre pour ces évocations automnales et hivernales.
Par contre, relisez-vous bien afin de corriger les fautes !
un peu plus froids/ se dévoiler/ de chaleur/ immenses… …
consignes toutes formes acceptées ici formes particulières de 3 rimes suivies, ou est ce un poème en tercets dont vous auriez oublié l’espacement,
dans ce vers mal dit « les brumes n'arrive à peine à totalement » pléonasme et soit elles arrivent à peine, soit elle n’y arrive pas totalement,
attention « fin » ne rime pas avec « parfums et défunts » son « in » pour l’un et son « un » pour les deux autres, bien que sujet beaucoup de répétitions trop rapprochées du mot « esprit » à mon goût et aussi répétition trop rapprochée du mot « fête »
Le sujet est bien présent, beaucoup d’esprits hantent vos vers « lol » un beau travail
de belles images, des vers un peu long à mon goût et quelques maladresses mais j’aime bien dans l’ensemble



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5 L'esprit d'une belle équipe ANGEPAPILLONNANOU 7.19

Après des longues heures d'acharnements passés aux échauffements,
De multiples soirées tardives où s'enchainent les entrainements,
Croire et dépasser inlassablement toutes ses propres limites intensément,
Un envoi, une frappe, un tir, une passe,
Une réception de balle et briller dans la place,
Courir en restant dans son espace,
S'attendre aux attaques de la part des adversaires,
Dés l'instant où l'arbitre renvoie une balle qu'il sert,
Entres coéquipiers, ils se passent tellement de balles qu'ils insèrent,
Partageant entres eux tous, des regards amicaux et complices,
En petites foulées, c'est entres leurs adversaires qu'ils s'immiscent,
Dans l'espoir qu'aux buts la balle tirée, roule et s'y glisse,
Se laisser prendre aux partages et volontés emplies d'ambitions,
Aimer ces matchs où les joueurs se procurent autant d'émotions,
Garder en soi cet esprit de vaincre avec passion,
Défendre ses atouts, c'est esprit d'équipe et son emblème,
En deux mi-temps accomplir et donner le meilleur de soi-même,
S'épanouir dans un loisir un plaisir partager que l'on aime,
Au cœur de ses moments riches en intensités,
Saisir ses chances et s'affronter dans le respect et la loyauté,
Entres leurs mains tenir des médailles et des coupes bien méritées.


Un bel esprit d’équipe et bien conté…mais attention aux fautes !
Il se passe/ de longues heures d’acharnement passées… …
consignes titre ça passe, toutes formes acceptées, là rime suivie par trois, ou est-ce des tercets ?
« partageant entre eux tous, des regards... »mal dit double emploi, soit « partageant entre eux des regards » ou alors « partageant tous des regards » et pas de virgule,
« au cœur de ses moments riches » j’aurais mis « ces moments »
Sujet intéressant, l’esprit d’équipe, un engagement personnel au seins d’une équipe,
de bonne idées mais poème un peu poussif, on s’essouffle un peu à la lecture




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6 Quand Eros tique LURON 1er 8.18

Eros ! Eros ! Exhausse mon beau phantasme,
De me procurer un petit orgasme,
Et par une raie compensée,
Vouloir me récompenser.


Eros ! Eros ! Toi, si près de tous les saints,
Esquisse moi, un joli contour de seins,
Et demande à la vierge,
De faire grossir ma verge.


Eros ! Eros ! Pour moi le jeune cupidon,
Ne m’offre surtout pas un cul bidon,
Mais pour la fantaisie de mon imagination,
Tu n’as fait que la création d’une illusion.


Eros ! Eros ! Ce rêve est une chimère,
Qui me vient sûrement de ma mère,
Et bien entendu, ce n’est qu’une fiction
Un beau jeu de mes divagations.


Eros ! Eros ! Ouvre une porte pour ’rejouir’,
Enfin, j’ai fait cet exposé pour vous réjouir,
Et d’augmenter une belle forme de désir,
Et vous donner des secondes d’immense plaisir.


Eros ! Eros ! C’est par les jeux d’esprit
Qu’aujourd’hui, tu m’as appris,
Que la joie du moment,
Ne dure qu’un instant.


Fort belle conclusion dans ces fantasmes de l’esprit !
Un titre amusant mais qui ne met pas assez le thème en évidence
pour les consignes titrer OK, forme aabb rimes redoublées ok, sans alternance M/F,
une rime faible « moment / instant »
Sujet abordé avec humour et légèreté, vous avez l’esprit coquin, et vous prouvez qu’avoir l’esprit mal placé, n’empêche pas d’avoir de l’esprit,
place à l’humour et aux jeu de mots, une belle lecture



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7 Invisible esprit… TIERAM 9.4 Médaille d'Or

Je perçois l’invisible arpentant mon esprit
Es-tu là mon ami pour peindre le silence ?
Tu regrettes les mots que parfois l’on écrit
Mon émoi déjà court vers ce don d’excellence.


L’insoumis vient dormir dans les bras de Morphée
Je perçois l’invisible arpentant mon esprit
Qui dévoile l’oubli d’un étrange nymphée
Or, caresse le vent dans ce monde meurtri.


Il soulage le soir mon aveu que proscrit
La verve d’un fantôme à l’onde passagère
Je perçois l’invisible arpentant mon esprit
Puis devine l’automne en trouble messagère.


Nul ne croit que la vie a couvert cette adresse
Quand le vers me titille, on entend comme un cri
Car l’instant lui dépose un regard de tendresse
Je perçois l’invisible arpentant mon esprit.


Magnifique poème tout en harmonie, titre bien choisi
pour les consignes titrer ça va, forme qui me semble s’apparente au « maillet » le premier vers du poème répété en 2ème, 3 ème et dernier vers des quatrains suivant, en alexandrins avec alternance des rimes f/m
Le sujet je perçois bien là cet esprit créatif et poétique, cet esprit fantôme qui parfois traverse notre esprit,
un poème tout en finesse belle lecture

**************

8 le voyage astral ‌ WILLIAM LECORNIER 9.11 Médaille d'Argent

Quand arrive la nuit, bercé par le silence,
Quelquefois mon esprit fait une excursion,
Dans un calme absolu, en toute insouciance,
Ne pensant qu'au chemin de cette évasion.


D'univers dans lequel ignore la science,
Celui du monde astral, qui reste en fusion,
Et qui se manifeste en pleine conscience,
En demeurant toujours en parfaite union.


Dans cette immensité, en plein état de veille
Dans lequel je m'élève en sortant de mon corps,
À moitié endormi, pendant que je sommeille.


Quand la nuit étoilée, avec ses reflets d'or,
Brille dans l'univers, au milieu de l'espace,
Mon esprit lumineux qui plus est me dépasse.



Un titre bien adapté, poème empli de musicalité bravo !
Toutes formes acceptées choix rigoureux d’un sonnet, pour les rimes ok, les alexandrins semblent bons
mais je n’ai pas tout vérifié n’étant pas exigé dans les consignes,
Le sujet abordé l’esprit léger, laisser s’envoler son esprit,
un sonnet bien construit une belle lecture, mais je trouve mal dit ce vers en début du second quatrain je bute un peu dessus à la lecture,
« D’univers dans lequel ignore la science » je trouve dure l’entrée avec le « d » apostrophe et ignore le verbe tombe sec et on ne sait pas ce quelle ignore ou si c’est la science qui s’ignore dans cet univers,
mais dans l’ensemble j’aime bien
****************

9 Esprit d'équipe?????? KINKIN 8.21


On pourra dire que cette folle aura marqué les esprits,
Je crois que l'on va en parler pendant des décennies,
Au début je lui ai donné des conseils pas des ordres,
Fermée à ma main tendue a commencé le désordre...


Avec les années elle s'est empêtrée dans ses travers,
Ses lacunes, ses oublis, son manque de logique légendaire,
Dans son manque d'esprit d'équipe, dans son égoïsme,
Tout pour sa gueule, pratiquante de l'individualisme...


Solidarité n'est pas un mot dans son dictionnaire,
Le mot qui s'en rapprocherait serait plutôt solitaire,
Quand vient le moment de remplir ses poches ou son cabas
Elle ne demande pas aux autres si ils en veulent ou pas,


Pour récupérer, tel un éclair elle est aussi vive et rapide,
Elle a comme un regain d'énergie, elle n'est plus livide,
En un quart de temps, elle a retrouvé un second souffle,
Il a chaussé ses baskets pour laisser de côté ses pantoufles,


Plus de rhumatismes handicapants, plus aucune douleurs,
Il n'y a pas de petits profits par ses temps de crises et de labeurs,
Elle pratique le chacun pour soi avec sa mentalité de conne
Avec ses œillères, Madame ne pense qu'à sa petite personne,


Elle mène grand train de façade, elle touche la luxure
En grattant bien on s'aperçoit de la rouille sous la peinture,
Son comportement est agaçant et plombe l'ambiance,
Sa mentalité de merde fait parfois que je rentre en transe...


Quand ça va trop bien il faut qu'elle cherche querelle
Elle ne peux pas s'en empêcher c'est plus fort qu'elle,
Son comportement pour gens normaux est incompréhensible
Parfois j'arrive a prendre sur moi pour ne pas péter un fusible,


Moi j'ai été habitué très jeune a partager le pain quotidien,
Quand nous étions limités en quantité il n'y en avait pas pour l'un,
Le partage était remis à plus tard en attendant les jours meilleurs
Pour que l'autre est sa part égale cela évitait les vives rancœurs.


Petite erreur je pense « elle » et non « il » a chaussé ses baskets…
En effet, elle ne connait pas l’esprit d’équipe ! lecture fort amusante
Consignes toutes formes acceptées vous avez choisi un poème en rime redoublées et sans métrique,
avec quelques rimes pauvres et surtout « quotidien » et « l’un » ne riment pas
pour le titre ok avec les points interrogations
petite erreur de grammaire on écrit pas « si ils en veulent » mais « s’ils en veulent » le i de si s’élide devant il ou ils.
Le sujet serait plutôt le manque d’esprit mais vous vous montrait que vous faite preuve d’esprit d’équipe
un poème sous forme de pamphlet destiné à votre collègue il me semble, un ton sarcastique, un vocabulaire fleurie si on peut dire



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10 Quand les esprits errent WILLIAM LECORNIER 9.08 Médaille de Bronze

Quand le ciel s'assombrit au milieu de la nuit,
On entend fredonner, tout en bas des ténèbres,
Dans les vastes couloirs, comme des chants funèbres,
Au fin fond de l'abîme en plein cœur de minuit.


Les esprits égarés, en quête de repère,
Implorent tous les dieux, en disant mea-culpa,
Dans les sentiers obscurs, d'autres font les cent pas,
Tout au long du chemin qui mène à la lumière.


Cherchant à s'en sortir de ce maudit brouillard ;
Qui devient infernal, d'où l'affreux cauchemar,
Qui règne dans ces lieux, vers la course mortelle,


De l'ultime départ via le corbillard,
Pour enfin retrouver cette sempiternelle,
Où l'on prend son billet pour la vie éternelle.


Fort beau poème, tant par le fond que la forme !
Juste une suggestion : j’aurais mis pour le titre «L’errance des esprits » pour éviter la phonétique guère harmonieuse de « Quand les esprits errent »
consignes toutes formes respectées ici choix d’un sonnet
le sonnet exige des alexandrins ce qui semble être bon bien que je n’ai pas contrôlé tous les vers, au niveau des rimes ça va, bien qu’un alexandrin exige la pureté des rimes donc respecter le pluriel ou le singulier à la rime « méa-culpa et cent pas » pas bon en poésie classique, une rimes doit avoir la même consonne d’appuis ainsi une diérèse ne peut répondre qu’à une diérèse donc « repère et lumière » ne devrait pas être utilisé dans un sonnet, de même un mot ne peut rimer avec lui même et ses dérivés donc « nuit et minuit » cette rime devrait être évitée, mais je relève pour info ceci car n’étant pas dans les consignes, toutes formes acceptées vous étiez libres de faire un sonnet néo-classique,
Le sujet, hou !j’ai cru voir un fantôme, des esprits condamnés a errer éternellement,
un joli sonnet, bonne lecture


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11 L’esprit de la fête est-il compatible avec l’esprit des lois ? ZUC 8

L’esprit de la fête
est-il compatible avec l’esprit des lois ?
je n’en sais rien, j’en perds la tête,
et ma règle de trois,


Esprit dérangé,
par l’abus de substances illicites,,
me voici étranger,
par des accords tacites


Esprit volage,
toujours tu voles en liberté,
sans soucis de l’âge,
où tu finiras déporté,


L’esprit de la fête
est-il compatible avec l’esprit des lois ?
la question n’est pas si bête,
entendez-vous déjà l’autorité aux abois,


Esprits des lumières,
celui qui brille dans mon regard,
ce vin qui coule dans toutes les chaumières,
sera jugé sans le moindre égard,


Esprit corrosif
acide et vitriol, humour décapant,
se lisent dans ton œil vif,
quand les pages de la bible ou du coran te font sacripant


L’esprit de la fête
est-il compatible avec l’esprit des lois ?
je me débouche une canette,
cela vaut bien le nectar des rois.


Une apologie de l’esprit ! Fort divertissant
Un oubli de majuscules sans doute dans les 3 derniers vers de chaque quatrin
Une belle conclusion humoristique
Les consignes étant libres, vous avez choisis un poème en rimes ABAB, sans métrique mais une irrégularité dans les vers certains sont un peu long dommage,
sujet bon questionnement dans toute la disparité des esprits, on peut dire que vous avez l'esprit libre, si ce n'est l'esprit jeune, l'esprit de la fête n'étant pas l'apanage de la jeunesse uniquement, ni celle des rois,
un poème intéressant



HORS CONCOURS
L’esprit à quatre mains ZUC / LURON1er/MATTHALE /LLUMIERELIVE


Moi voyez-vous, je ne prie pas dieu et tous ses saints,
Je préfère plonger mon regard dans vos yeux et vos petits seins,
Je ne suis pas un gros porc ou un cochon, juste un petit marcassin,
J'ai l'esprit dans la culotte, pas besoins de vous faire un dessin, (pour de rire)


Une drôle d’affaire qui aujourd’hui me pique,
De devoir ainsi t’offrir ma petite réplique,
Et si maintenant, je pousse de petits cris,
C’est que tu as volé l’esprit d’un de mes écrits,


D'ailleurs, es tu là ? Est ce le bon ou le mauvais?
Quand à la relecture, sa demeure se dessinait,
Bien que la plupart des textes n'en soient pas sans,
Et à force d'en chercher, un guéridon pour cerveau lent,


Je vois que ces messieurs ont l’âme coquine
Mon esprit enclavé en est dépourvu
D’ironie maussade et quelque peu mesquine
Je ne peux y jouer les m’as tu vu…


******************


En quête d’esprits Llumierelive

En le labyrinthe spongieux de ma conscience
Où l’entendement s’est quelque peu égaré,
Je cherche et m’efforce à remettre en évidence
La trame d’un conceptuel m’étant délabré,


Mes pensées stagnent s’altèrent se perdent et flétrissent,
Mon esprit s’évapore, titube et se noie,
Ses rouages bancales s’enraillent grincent et crissent
Mon encéphale élimé se bloque, se ploie,


Et je reste à l’affut à la chasse d’esprits,
J’ai égaré le mien, je dois le remplacer,
Sous n’importe quelle forme, à n’importe quel prix,
Qu’il soit large ou étroit, soumis ou déplacé,


Ombrageux ou ouvert, amical ou sectaire,
Qu’il soit bon ou mauvais, raffiné ou malsain,
Rebelle ou résigné, modeste ou terre à terre,
Pervers ou indulgent, ou bien celui d’un Saint…








 
Dernière édition:

dragory

Nouveau poète
#8
Dans mon esprit tout ce boucle j'avance mais je recule, une sensation de vide ,mon coeur ce brise, perdue depuis cet annonce qui me tue.
Toi mon modèle, mon père, mon tout
Tu nous annonce à nous tes enfants cette terrible nouvelle, comme un coup de massue ont acquiesce, les larmes nous blessent.
Dans mon esprit plus rien n'est clair
Un voile noir vient masquer ton doux regard
Ce crabe infernal qui te ronge cette maladie qui montre que la vie ne tient qu'a un file.
Dans mon esprit plus rien ne va
Ont voudrais te garder à tout jamais dans nos bras , mais ont sait que l'ont ne pourra pas.
Ont attend, ont espère que tu guérira
Mais ont sait que ça n'arrivera pas
Tes jours sont comptés.
Dans mon esprit le temps défile je te regarde et je me dit que tu est fort et que tu es un guerrier et qu'un miracle peut arriver.
Je voudrais te dire tout simplement
Papa je suis fière que tu sois mon père
Je te le dit haut et clair
Le plus fort sait mon père
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#9
Dans mon esprit tout ce boucle j'avance mais je recule, une sensation de vide ,mon coeur ce brise, perdue depuis cet annonce qui me tue.
Toi mon modèle, mon père, mon tout
Tu nous annonce à nous tes enfants cette terrible nouvelle, comme un coup de massue ont acquiesce, les larmes nous blessent.
Dans mon esprit plus rien n'est clair
Un voile noir vient masquer ton doux regard
Ce crabe infernal qui te ronge cette maladie qui montre que la vie ne tient qu'a un file.
Dans mon esprit plus rien ne va
Ont voudrais te garder à tout jamais dans nos bras , mais ont sait que l'ont ne pourra pas.
Ont attend, ont espère que tu guérira
Mais ont sait que ça n'arrivera pas
Tes jours sont comptés.
Dans mon esprit le temps défile je te regarde et je me dit que tu est fort et que tu es un guerrier et qu'un miracle peut arriver.
Je voudrais te dire tout simplement
Papa je suis fière que tu sois mon père
Je te le dit haut et clair
Le plus fort sait mon père
Pour concourir il faudrait l'envoyer en message privé à LLUMIERELIVE00 l'initiatrice de ce concours
 

tieram

Maître Poète
#12
Bonsoir à tous et toutes félicitations à tous les participants ils ne déméritent absolument pas bien au contraire
j'ai aimé lire chacun d'entre vous ...
Félicitations aussi à Michel qui ne démérite pas jolies places pour ces deux sonnets un ravissement j'aime beaucoup bravo
cher ami.
Je remercie le juge et les Jurys de cette première place
Bonne soirée amitiés

841-Toutes mes felicitations_medium (1).gif
 
#13
bonsoir à tous et à toutes, je viens par ce modeste message complimenter tous les participants de ce dernier concours sur CREA
D'abord au gagnant, et bien sur à tous les autres en leur disant que personne a perdu, et tout le monde a gagné la médaille en chocolat
et rendez- vous au prochain CC d'ici l là portez vous bien et bonne inspiration
bisous
Michel