Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Errante, Erant, Enfant du Néant (Duo Joklaire03 & Leo)

#1


Errante, Erant
Enfant du néant

J’avais frappé aux portes et ouvert les murs,
Je n’étais sur la Terre qu’un monstre de plus.
Brisé les lampes, les décors et sondé le futur,
Je cherchais la lumière, jusqu’alors jamais vue.


Un cœur si pure sous cette noire armure
Cette plume noire pour mon dernier salut
Ses derniers mots ou tu me murmures
Ses derniers cris et problèmes irrésolus


Je montais les rivières, et descendait les collines,
Ma vie entière était antique, en poussière.
Je croisais le fer, et construisait des ruines,
Pour le bien, pour le mal, pour rien, pour faire.


Ma blanche lumière toujours orpheline
La mort soufflait comme une conseillère
Des mots ou je me perdais d'adrénaline
Des bruits qui annonçaient la poudrière


Dans mes yeux raisonnait la peur, le vide,
Gonflés d’une soif, d’envies morbides.
Je glaçait d’effroi les âmes qui par malheur,
Croisaient mon chemin, ma vie, quelques heures.


Le sang qui s'écoulait était toujours plus fluide
Ce rouge sentiment et mes pensés bizarroïdes
Je la ressentait mais négligeait cette douleur
Mon détour ou je n'ai connue que des malheurs


Je traînais dans un enfer infini d’un noir intense,
Cherchant sans fin la sortie du labyrinthe immense,
Puis j’ai monté les pentes escarpées et traversé les chemins,
Ouvrant la dernière porte, dernier appel, tu me tendais la main.


Cette noire romance était sans aucune importance
Cette noire croyance était ma seule et triste pénitence
Depuis longtemps j'avais arrêté de prier pour le lendemain
Trop longtemps j'avais oublié que j'étais qu'un simple humain


La lumière s’en engouffrée, la vie a commencé,
Le plus beau des matins de Mai, tout a changé.
Tu m’a tendu ton cœur, sauvé le mien noyé,
Dans mes pleurs de chagrin, tu m’as aimée.


J'ai beau encore y croire mais je ne peux nuancé,
Ce triste miroir par le temps trop passé s'est brisé
Ce triste devoir ou je n'ai trouvé le moyen de te garder
Cette triste histoire ou je n'oserais jamais plus te regarder


Nous sommes deux pour aimer, pour battre et pour sortir
De nos obstacles, de nos erreurs, nous sommes notre avenir…
Croyons en toi, en nos rêves fous, croyons en nous,
La Vie fut de nos âmes notre plus beau rendez-vous.


Nous étions deux et même plus pour nous anéantir
Mais un beau et dernier jour j'ai préféré m'enfuir
Nous étions deux puis je me suis retrouvé seul à genou

Désolé pour ses tristes mots qui sont tout sauf doux


Joklaire03 & Leo

...
 
Dernière édition:

Cortisone

Maître Poète
#2


Errante, Erant
Enfant du néant

J’avais frappé aux portes et ouvert les murs,
Je n’étais sur la Terre qu’un monstre de plus.
Brisé les lampes, les décors et sondé le futur,
Je cherchais la lumière, jusqu’alors jamais vue.


Un cœur si pure sous cette noire armure
Cette plume noire pour mon dernier salut
Ses derniers mots ou tu me murmures
Ses derniers cris et problèmes irrésolus


Je montais les rivières, et descendait les collines,
Ma vie entière était antique, en poussière.
Je croisais le fer, et construisait des ruines,
Pour le bien, pour le mal, pour rien, pour faire.


Ma blanche lumière toujours orpheline
La mort soufflait comme une conseillère
Des mots ou je me perdais d'adrénaline
Des bruits qui annonçait la poudrière


Dans mes yeux raisonnait la peur, le vide,
Gonflés d’une soif, d’envies morbides.
Je glaçait d’effroi les âmes qui par malheur,
Croisaient mon chemin, ma vie, quelques heures.


Le sang qui s'écoulait était toujours plus fluide
Ce rouge sentiment et mes pensés bizarroïdes
Je la ressentait mais négligeait cette douleur
Mon détour ou je n'ai connue que des malheurs


Je traînais dans un enfer infini d’un noir intense,
Cherchant sans fin la sortie du labyrinthe immense,
Puis j’ai monté les pentes escarpées et traversé les chemins,
Ouvrant la dernière porte, dernier appel, tu me tendais la main.


Cette noire romance était sans aucune importance
Cette noire croyance était ma seule et triste pénitence
Depuis longtemps j'avais arrêté de prier pour le lendemain
Trop longtemps j'avais oublié que j'étais qu'un simple humain


La lumière s’en engouffrée, la vie a commencé,
Le plus beau des matins de Mai, tout a changé.
Tu m’a tendu ton cœur, sauvé le mien noyé,
Dans mes pleurs de chagrin, tu m’as aimée.


J'ai beau encore y croire mais je ne peux nuancé,
Ce triste miroir par le temps trop passé s'est brisé
Ce triste devoir ou je n'ai trouvé le moyen de te garder
Cette triste histoire ou je n'oserais jamais plus te regarder


Nous sommes deux pour aimer, pour battre et pour sortir
De nos obstacles, de nos erreurs, nous sommes notre avenir…
Croyons en toi, en nos rêves fous, croyons en nous,
La Vie fut de nos âmes notre plus beau rendez-vous.


Nous étions deux et même plus pour nous anéantir
Mais un beau et dernier jour j'ai préféré m'enfuir
Nous étions deux puis je me suis retrouvé seul à genou

Désolé pour ses tristes mots qui sont tout sauf doux


Joklaire03 & Leo

...
Magnifique duo très bien écrit
Felicitâtions
Merci pour ce partage
Amicalement à vous deux
Gaby
 

Polymnie2

Maître Poète
#16
Merci a toi
oui belle osmose ce poème ma cache inspiré même si il est un peu long surtout pour un duo
je trouve le résultat pas mal

Amitiés Leo


Le coton hydro-fil
faisant sa douceur
s'étend à l'infini
mérite un deuxième écho!

Amitiés, Poly