Parfois, on se perd à vouloir grandir
dans de trop vastes territoires
semant des cailloux, ici et là,
dans l’espoir de s’y retrouver.
À trop vouloir s’affranchir
on galope, on trottine, on s’égare
en des lieux inconnus, parfois saugrenus,
mirage d’un été sans fin
sous un firmament, savamment déployé.
On avance, chandelle à la main,
cherchant les trémas de notre route
sans doute, sont-ils les balises
d’une puissante envie d'évasion
Lacets défaits, cheveux au vent,
Bottines usées, d’un parcours
décrépit d’autant de questions,
À vouloir trop grandir, il faut parfois résoudre
Des énigmes embrouillées, où à tâtons
Nous devons retrouver le chemin de la maison.
dans de trop vastes territoires
semant des cailloux, ici et là,
dans l’espoir de s’y retrouver.
À trop vouloir s’affranchir
on galope, on trottine, on s’égare
en des lieux inconnus, parfois saugrenus,
mirage d’un été sans fin
sous un firmament, savamment déployé.
On avance, chandelle à la main,
cherchant les trémas de notre route
sans doute, sont-ils les balises
d’une puissante envie d'évasion
Lacets défaits, cheveux au vent,
Bottines usées, d’un parcours
décrépit d’autant de questions,
À vouloir trop grandir, il faut parfois résoudre
Des énigmes embrouillées, où à tâtons
Nous devons retrouver le chemin de la maison.
Dernière édition: