Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Epopée

Aridjar

Nouveau poète
#1
Je me suis écrasé, face contre terre,
Et mon sang vermeille coule dans ces artères,
Une lance me cloue, je ne peux bouger,
Mais son but premier est de me tuer.

Je suis un simple compagnon forgeron,
Un vieil ami du bûcheron grognon,
Chef de la milice de notre village,
Et moi, je fourni des armes de tout âge.

Un jour, de noirs guerrier sont arrivés,
J’ai fuis et réussi a me caché,
Pendant que mes ami étaient tué.
J’ai alors promis de tous les vengés

Je suis alors retourner au village,
Ou j’ai aperçut plein de pâle visages,
Seul le bûcherons, chef de la milice,
était vivant et pleurait tous ces fils.

Ils se leva et s’avança vers moi,
Et ensemble nous créame les armes de loi,
Lourde hache, longue lance et arc des mieux taillés,
mélé avec épée et bouclier.

Nous parcourîmes ensemble de longue plaines,
Tuant des barbares, courtisant des reines,
Mais nous n’abandonnâmes notre premier but
Pas même après dix ans de vie de brute.

Nous retrouvâme un jour les noirs guerriers,
Et alors notre rage fut dédoublé
Nous briâmes des boucliers et des os,
Lacérant même dans la rage notre peau.

Mais une épée trop rapide nous stoppa
Et une noir hache, bien trop lourde, nous faucha,
Bucherons et forgeron furent à terre,
Vengé au millieux de tout ces pauvres hères…