Entre la souffrance et rien, que choisis-tu ?
Moi j'ai fait mon choix, j'ai décidé de souffrir,
D'avoir mal et de vivre le martyre
Car cette douleur vient de toi, je la veux même si elle me tue...
Quand je te vois, je vois venir la douleur
Brûlante, forte, que tu vas m'infliger,
Comme le fil d'une lame acérée
Qui serait posée sur mon cou. J'ai peur...
Mais je viens vers toi quand même !
Je ne me contrôle plus, et la lame
Tombe et trace un sillon brûlant dans mon âme,
Ainsi que dans mon cœur, et n'y laisse que peine.
J'ai mal, je souffre, mais je reste avec toi...
Alors la lame s'enfonce de plus en plus profondément.
Je voudrais crier ma douleur, et le sang
Coule à flots ; mes propres larmes me noient...
Malgré tout, je reste là et je n'arrive pas à m'en aller ;
Tu le sais, tu donnes le coup de grâce et tu m'achèves...
Je comprends enfin que ma souffrance n'aurait pas de trêve.
Le froid mortel de la douleur me fait frissonner une dernière fois. Tu m'as tuée.
Dans la vie, on a toujours le choix
Encore faut-il faire le bon...
Mon cœur et mon âme t'appartiennent, je pourrais mourir pour toi.
J'ai fait le choix de t'aimer. J'ai perdu la raison !
Moi j'ai fait mon choix, j'ai décidé de souffrir,
D'avoir mal et de vivre le martyre
Car cette douleur vient de toi, je la veux même si elle me tue...
Quand je te vois, je vois venir la douleur
Brûlante, forte, que tu vas m'infliger,
Comme le fil d'une lame acérée
Qui serait posée sur mon cou. J'ai peur...
Mais je viens vers toi quand même !
Je ne me contrôle plus, et la lame
Tombe et trace un sillon brûlant dans mon âme,
Ainsi que dans mon cœur, et n'y laisse que peine.
J'ai mal, je souffre, mais je reste avec toi...
Alors la lame s'enfonce de plus en plus profondément.
Je voudrais crier ma douleur, et le sang
Coule à flots ; mes propres larmes me noient...
Malgré tout, je reste là et je n'arrive pas à m'en aller ;
Tu le sais, tu donnes le coup de grâce et tu m'achèves...
Je comprends enfin que ma souffrance n'aurait pas de trêve.
Le froid mortel de la douleur me fait frissonner une dernière fois. Tu m'as tuée.
Dans la vie, on a toujours le choix
Encore faut-il faire le bon...
Mon cœur et mon âme t'appartiennent, je pourrais mourir pour toi.
J'ai fait le choix de t'aimer. J'ai perdu la raison !