Entre fièvre et douceur
De chimères, je me laisse bercer.
Un sourire se dessine sur mes lèvres.
Mes yeux se hasardent autour de moi.
Sur mes joues coulent quelques émois.
En moi, je sens monter la fièvre.
Telle une flamme qui vient me traverser.
Penser à toi, c'est donner du baume à mon cœur.
Sentir une douce ivresse nous prendre.
Nous envahir de tant de chimères,
Même si elles paraissent éphémères.
J'aimerais, auprès de toi, les comprendre.
Car, lorsque tu es là, je sens battre mon cœur.
Parfois, j'aimerais être cet écrin orné de satin,
Afin de pouvoir t’y accueillir tel un diamant.
Toi seul, tu sauras me combler d'idéaux,
Si près de toi, je serais si bien, j'aurais si chaud.
Comme si, entre tes bras, tu m’accueillais tel un amant,
Je saurai être celui qui se loge dans son écrin.
De chimères, je me laisse bercer.
Un sourire se dessine sur mes lèvres.
Mes yeux se hasardent autour de moi.
Sur mes joues coulent quelques émois.
En moi, je sens monter la fièvre.
Telle une flamme qui vient me traverser.
Penser à toi, c'est donner du baume à mon cœur.
Sentir une douce ivresse nous prendre.
Nous envahir de tant de chimères,
Même si elles paraissent éphémères.
J'aimerais, auprès de toi, les comprendre.
Car, lorsque tu es là, je sens battre mon cœur.
Parfois, j'aimerais être cet écrin orné de satin,
Afin de pouvoir t’y accueillir tel un diamant.
Toi seul, tu sauras me combler d'idéaux,
Si près de toi, je serais si bien, j'aurais si chaud.
Comme si, entre tes bras, tu m’accueillais tel un amant,
Je saurai être celui qui se loge dans son écrin.