En franchissant l’entrée
De la porte miroir,
Pete et Stevens ne s’attendaient
Pas à découvrir de l’autre côté,
Un monde magique, mais étrange,
Comme ils avaient pu en rêver
Du temps de leur adolescence.
Comment avaient-ils pu passer
Dans ce monde enchanté.
Cette porte donnait dans le parc
Où, devant, étaient plantés
Des arbres et des rosiers.
C’était un bel après-midi d’été.
Le soleil se reflétait
Dans ce cadre bucolique.
Simplement une invite
Et eux, n’y avaient résisté.
Ils traversèrent
Et en une seconde, ils tombèrent
Dans une autre dimension.
Les arbres et les feuilles étaient géants.
Comment retraverser
Pour passer de l’autre côté,
Rien n’indiquait à leurs yeux,
La porte sur leur monde.
Mais intrépides, ils préférèrent continuer
À perte de vue, des collines
Où volaient toutes sortes de papillons
Indiquant, que là, l’air y était pur
Pas de trace, à première vue
De civilisation, c’était fascinant,
Et à la fois effrayant
Que leur réservait le destin?.
IRIS 1950
De la porte miroir,
Pete et Stevens ne s’attendaient
Pas à découvrir de l’autre côté,
Un monde magique, mais étrange,
Comme ils avaient pu en rêver
Du temps de leur adolescence.
Comment avaient-ils pu passer
Dans ce monde enchanté.
Cette porte donnait dans le parc
Où, devant, étaient plantés
Des arbres et des rosiers.
C’était un bel après-midi d’été.
Le soleil se reflétait
Dans ce cadre bucolique.
Simplement une invite
Et eux, n’y avaient résisté.
Ils traversèrent
Et en une seconde, ils tombèrent
Dans une autre dimension.
Les arbres et les feuilles étaient géants.
Comment retraverser
Pour passer de l’autre côté,
Rien n’indiquait à leurs yeux,
La porte sur leur monde.
Mais intrépides, ils préférèrent continuer
À perte de vue, des collines
Où volaient toutes sortes de papillons
Indiquant, que là, l’air y était pur
Pas de trace, à première vue
De civilisation, c’était fascinant,
Et à la fois effrayant
Que leur réservait le destin?.
IRIS 1950