En mon cœur une énigme
Comment a-t-elle pu me faire vivre dans les rêves ?
En mon cœur un espoir
Comment a-t-elle pu ressusciter en moi-même un tel espoir ?
En mon âme tout un univers
Comment a-t—elle pu me faire découvrir un pareil univers ?
Un vrai paradis ?
Un paradis céleste ?
Avec les rêves, avec ses rêves, elle m’emporta.
Avec les yeux elle me parla.
Avec le cœur je lui ai répondu.
Nos rêves se sont soudain entremêlés.
C’était un seul rêve, son rêve ; quoi ; mon rêve.
C’est drôle, nous avons eu le même rêve.
Nous avons éprouvé le besoin de nous laisser emporter par nos rêves.
Dans les rêves on s’est fait notre monde, un monde fait de rêves, de jolis rêves.
Un monde fait pour les rêves.
Nous étions deux doux rêveurs.
La vie était dans le rêve
Un rêve de toujours
Un rêve pour toujours
De rêve en rêve
De rêve en verve
Et de verve en vers
Voilà notre vie qui se transforme en rêve, un rêve des plus beaux, des plus agréables.
Le rêve était notre réalité
Une réalité de rêve, une réalité en rêve.
Nulle réalité sans rêve, nulle vie sans rêve
Le rêve c’est la grande évasion, une évasion du vécu
Pour retrouver l’imaginaire, pour retrouver l’agréable
Pour retrouver l’univers du possible quoi que impossible.
Un monde fait de rêve, quel beau monde !
Un monde qui répond à une aspiration des plus profondes
Celle de pouvoir s’évader en un univers sans fin
Un univers de joie et de liberté, un univers de joie et de bonheur.
Une évasion vers l’infini
Et quel infini ?
Et quel univers ?
Un infini en rêve, un univers en verve, et une évasion en vers.
Rêve, rêverie, évasion des âmes solitaires où l’une et l’autre se retrouvent.
Où l’une s’accorde avec l’autre
Et où les deux s’embraseront à l’infini pour revivre leur passé, refaire leur présent
Et réaliser leur rêve pour une vie future
Et où l’aspiration à l’amour est leur rêve de toujours, un amour en verve.
Comment a-t-elle pu me faire vivre dans les rêves ?
En mon cœur un espoir
Comment a-t-elle pu ressusciter en moi-même un tel espoir ?
En mon âme tout un univers
Comment a-t—elle pu me faire découvrir un pareil univers ?
Un vrai paradis ?
Un paradis céleste ?
Avec les rêves, avec ses rêves, elle m’emporta.
Avec les yeux elle me parla.
Avec le cœur je lui ai répondu.
Nos rêves se sont soudain entremêlés.
C’était un seul rêve, son rêve ; quoi ; mon rêve.
C’est drôle, nous avons eu le même rêve.
Nous avons éprouvé le besoin de nous laisser emporter par nos rêves.
Dans les rêves on s’est fait notre monde, un monde fait de rêves, de jolis rêves.
Un monde fait pour les rêves.
Nous étions deux doux rêveurs.
La vie était dans le rêve
Un rêve de toujours
Un rêve pour toujours
De rêve en rêve
De rêve en verve
Et de verve en vers
Voilà notre vie qui se transforme en rêve, un rêve des plus beaux, des plus agréables.
Le rêve était notre réalité
Une réalité de rêve, une réalité en rêve.
Nulle réalité sans rêve, nulle vie sans rêve
Le rêve c’est la grande évasion, une évasion du vécu
Pour retrouver l’imaginaire, pour retrouver l’agréable
Pour retrouver l’univers du possible quoi que impossible.
Un monde fait de rêve, quel beau monde !
Un monde qui répond à une aspiration des plus profondes
Celle de pouvoir s’évader en un univers sans fin
Un univers de joie et de liberté, un univers de joie et de bonheur.
Une évasion vers l’infini
Et quel infini ?
Et quel univers ?
Un infini en rêve, un univers en verve, et une évasion en vers.
Rêve, rêverie, évasion des âmes solitaires où l’une et l’autre se retrouvent.
Où l’une s’accorde avec l’autre
Et où les deux s’embraseront à l’infini pour revivre leur passé, refaire leur présent
Et réaliser leur rêve pour une vie future
Et où l’aspiration à l’amour est leur rêve de toujours, un amour en verve.
