Ecrivaillon en camelote.
(pastiche)
Le plumage de cette foule est bien l'âme pour t'élire,
De tes maux en faire une daube pour la fureur de te lire,
Se retrancher derrière les bosses de ces chameaux bénis,
De tes textes qui s'agrafent pour demain, pour aujourd'hui.
La clameur de ton antre se défoule comme une reine,
Versant à l'envie cette encre découlant de tes veines,
La clarté de ton immense soleil brille d'émotions,
Sortant le matin et retrouvant les couleurs de ta passion.
On efface ces cauchemars, en trêve on les range dans le dos,
Le hâle ocré de tes pages nous offre ton style le plus haut,
Avec tous ces petits riens, tu valses au son de tes bonheurs,
Egrenant les secondes sur les moments riants de tes heures.
Mais le petit troubadour se veut avec de nombreux tours,
Pour un petit écrit, changer un instant du malheur le détour,
Essayant d'atténuer les grosses larmes en une petite bise,
Pour que de tous ces mésaventures, enfin elle les méprise.
Il n'est qu'un petit trou badour pour faire rêver.
(pastiche)
Le plumage de cette foule est bien l'âme pour t'élire,
De tes maux en faire une daube pour la fureur de te lire,
Se retrancher derrière les bosses de ces chameaux bénis,
De tes textes qui s'agrafent pour demain, pour aujourd'hui.
La clameur de ton antre se défoule comme une reine,
Versant à l'envie cette encre découlant de tes veines,
La clarté de ton immense soleil brille d'émotions,
Sortant le matin et retrouvant les couleurs de ta passion.
On efface ces cauchemars, en trêve on les range dans le dos,
Le hâle ocré de tes pages nous offre ton style le plus haut,
Avec tous ces petits riens, tu valses au son de tes bonheurs,
Egrenant les secondes sur les moments riants de tes heures.
Mais le petit troubadour se veut avec de nombreux tours,
Pour un petit écrit, changer un instant du malheur le détour,
Essayant d'atténuer les grosses larmes en une petite bise,
Pour que de tous ces mésaventures, enfin elle les méprise.
Il n'est qu'un petit trou badour pour faire rêver.