Quand je prends la plume, je souhaite franchir le mur de ce monde,
Passer de l'autre coté et m'envoler à tire-d'aile, comme la colombe,
Oublier l'univers long, triste et monotone d'une vie en ce temps,
Chevaucher les dragons du passé et sentir, des contes, l'encre d'antan.
Bercée depuis l'enfance par des récits merveilleux, je n'ai pas grandi,
Je reste la même, celle qui lisait, des heures durant, dans la chaleur d'un lit.
Celle qui écoutait sans jamais fermer les yeux, le narrateur d'un soir,
Et qui rêvait, la nuit, à de multiples péripéties pour terminer l'histoire.
Me voici maintenant, espérant être celle, qui bercera ceux qui n'ont pas grandi,
Et rêvent, à chaque heure, de héros fabuleux, dont le voyage n'est pas fini,
Puisqu'en ce monde, un livre ouvert, une page, sont comme la porte d'un château,
Qui permet à celui qui la passe de franchir le mur du temps jusqu'à l'enfance et d'oublier ses maux.
Passer de l'autre coté et m'envoler à tire-d'aile, comme la colombe,
Oublier l'univers long, triste et monotone d'une vie en ce temps,
Chevaucher les dragons du passé et sentir, des contes, l'encre d'antan.
Bercée depuis l'enfance par des récits merveilleux, je n'ai pas grandi,
Je reste la même, celle qui lisait, des heures durant, dans la chaleur d'un lit.
Celle qui écoutait sans jamais fermer les yeux, le narrateur d'un soir,
Et qui rêvait, la nuit, à de multiples péripéties pour terminer l'histoire.
Me voici maintenant, espérant être celle, qui bercera ceux qui n'ont pas grandi,
Et rêvent, à chaque heure, de héros fabuleux, dont le voyage n'est pas fini,
Puisqu'en ce monde, un livre ouvert, une page, sont comme la porte d'un château,
Qui permet à celui qui la passe de franchir le mur du temps jusqu'à l'enfance et d'oublier ses maux.