Alice glisse sur le lit où en dilettante tapisse de son corps de diane
De sa main qui se faufile ainsi vers ses vertigineux précipices
Pour que son esprit s'évade comme un âme de liane en liane
Faisant de sa matrice l'hydre des sept désirs découlant du plaisir.
De son premier décor ou ses doigts virevoltent en arabesques magique
Son sexe lubrifié par ces massages délicatement en profondeur idylique
Léchant l'absolu de son miel qui s'écoule de cet essaim mystérieux
Ou baigne les humus de rite pour des assaut en rythme glorieux.
De son second univers elle décroche la lune du bout de sa langue
Qui soit l'emprise du plaisir tourne autour du méat de l'éternel
Calfeutrer dans la jouissance des mots qui la lèche en puisant
De cette chair qui l'honore dans sa caverne ouverte et béante.
Luxuriant de ses yeux qui dépose sur le mat qui la transperce
Inondant d'un jus que seul en espère au goût d’absinthe amer
Sur le sucre des plaisirs inavoués recueils en lèvres vermeils
Glaçant le musc des esprits et la petite mort s’enivre d’éther.
Est à ce moment qu'au troisième acte la frivole s’enchaîne ici
De plier devant l'homme qui la tient en main soumise, à sa merci
De maudire le temps qui inflige la peur d'en oublier l'ordre
Priant de ses cris en complaisance et de jouissance se torde.
PascalH
De sa main qui se faufile ainsi vers ses vertigineux précipices
Pour que son esprit s'évade comme un âme de liane en liane
Faisant de sa matrice l'hydre des sept désirs découlant du plaisir.
De son premier décor ou ses doigts virevoltent en arabesques magique
Son sexe lubrifié par ces massages délicatement en profondeur idylique
Léchant l'absolu de son miel qui s'écoule de cet essaim mystérieux
Ou baigne les humus de rite pour des assaut en rythme glorieux.
De son second univers elle décroche la lune du bout de sa langue
Qui soit l'emprise du plaisir tourne autour du méat de l'éternel
Calfeutrer dans la jouissance des mots qui la lèche en puisant
De cette chair qui l'honore dans sa caverne ouverte et béante.
Luxuriant de ses yeux qui dépose sur le mat qui la transperce
Inondant d'un jus que seul en espère au goût d’absinthe amer
Sur le sucre des plaisirs inavoués recueils en lèvres vermeils
Glaçant le musc des esprits et la petite mort s’enivre d’éther.
Est à ce moment qu'au troisième acte la frivole s’enchaîne ici
De plier devant l'homme qui la tient en main soumise, à sa merci
De maudire le temps qui inflige la peur d'en oublier l'ordre
Priant de ses cris en complaisance et de jouissance se torde.
PascalH