Sous le couvert de la nuit le trouble passe
Dans les faubourgs l’infamie s’installe
Sous le voile qui obscurci les étoiles
Le Soleil, la Lumière trépasse
Les arbres d’acier la terre détruisent
Monte, monte l’air doux s’amenuise
Quel folie que le prétendu avenir
Seul le malheur est en devenir
L’espoir n’est plus entre nos mains
Personne ne connait l’avenir
Qui sait de quoi sera fait demain
Désormais l’Homme attend le pire