Du temps où je t'aimais (Sonnet Italien)
Du temps où je t'aimais, Nezha ma douce grive
Je jetais des bourgeons d'asphodèle au clair ru
Sentant le vain espoir malgré l'élan féru,
De mes yeux je suivais leur flux vers la dérive
Maintenant tant rongé, par les maux, il m'arrive
Encor ,assis au frais du vieux chêne au vert cru
De prendre ses bruns glands tombant à long flot dru
Et de les parsemer au vent ,douce missive
Voici pour toi ces airs de mes chansons oubliées
Oh ! Tu te souviendras,les mains sur le cœur pliées
Quand sur notre Grarem mai chantonne en muguet
Ou le long hiver froid ,redoublant ses averses,
Arrose sans répit prés aux teintes diverses
Et tu diras j’étais pour Naïm son daguet
Luthoriental le 16/72017
Du temps où je t'aimais, Nezha ma douce grive
Je jetais des bourgeons d'asphodèle au clair ru
Sentant le vain espoir malgré l'élan féru,
De mes yeux je suivais leur flux vers la dérive
Maintenant tant rongé, par les maux, il m'arrive
Encor ,assis au frais du vieux chêne au vert cru
De prendre ses bruns glands tombant à long flot dru
Et de les parsemer au vent ,douce missive
Voici pour toi ces airs de mes chansons oubliées
Oh ! Tu te souviendras,les mains sur le cœur pliées
Quand sur notre Grarem mai chantonne en muguet
Ou le long hiver froid ,redoublant ses averses,
Arrose sans répit prés aux teintes diverses
Et tu diras j’étais pour Naïm son daguet
Luthoriental le 16/72017
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