Te tourmenter un peu n'est pas pour me déplaire
Quand je vois tes yeux se troubler de désir
Je dérobe les miens et je sais faire taire
Les élans de mon corps, retarder le plaisir.
Je te frôle, ingénue, ton souffle s'accélère
Et tes mains sont hardies, je les repousse un peu,
Je dépose un baiser léger sur tes paupières
J'ignore tes soupirs et prolonge le jeu.
Pourtant à t'approcher, je sais que je me brûle
Tu sais si bien t'y prendre et je vais succomber.
Lorsque tu viens vers moi, alors je me recule
Mais tes yeux sont si doux, ils me font chavirer
L'amour est merveilleux, si l'on donne au désir
Le temps de rêver et le temps de grandir.
Quand je vois tes yeux se troubler de désir
Je dérobe les miens et je sais faire taire
Les élans de mon corps, retarder le plaisir.
Je te frôle, ingénue, ton souffle s'accélère
Et tes mains sont hardies, je les repousse un peu,
Je dépose un baiser léger sur tes paupières
J'ignore tes soupirs et prolonge le jeu.
Pourtant à t'approcher, je sais que je me brûle
Tu sais si bien t'y prendre et je vais succomber.
Lorsque tu viens vers moi, alors je me recule
Mais tes yeux sont si doux, ils me font chavirer
L'amour est merveilleux, si l'on donne au désir
Le temps de rêver et le temps de grandir.