DRAPÉE D’AMOUR…
Ton amour est comme le lierre
Qui, de sa verte étendue ramure
Enlace d’un geste infini la masure
Habillant sans bruit chaque pierre
Mon corps aime être cette maison
Qu’avec verdeur, de bas en haut
Tes mains, en arpentent ma peau
Sèment frissonnements à déraison
Lorsque, par un magnifique atour
Tes doigts s’agrippent à ma taille
Mon entière silhouette tressaille
Du spasme qui grimpe alentour
Vigoureux feuillage, ton bras lierre
Impériale cascade s’allonge, s’étale
Luxurieusement s’étire et s’installe
Tout contre mon cœur qu’il enserre
Sa fraicheur ombragée est anti UV
Pour le cou une tonnelle, un saule
Les jours d’hiver, sur mon épaule
La douce chaleur d’un bon duvet
Charmille, allée jusqu’à mon oreille
A la porte de ma bouche se hisse
La sève du baiser qui s’y glisse
Ravive mon sourire, l’ensoleille
Quand, au sommet d’un toit et moi
Ton doux regard, mon bel amoureux
Se penche à la fenêtre de mes yeux
C’est mon âme qu’il embrasse à l’émoi
PHILALY // JUIN 2018
Ton amour est comme le lierre
Qui, de sa verte étendue ramure
Enlace d’un geste infini la masure
Habillant sans bruit chaque pierre
Mon corps aime être cette maison
Qu’avec verdeur, de bas en haut
Tes mains, en arpentent ma peau
Sèment frissonnements à déraison
Lorsque, par un magnifique atour
Tes doigts s’agrippent à ma taille
Mon entière silhouette tressaille
Du spasme qui grimpe alentour
Vigoureux feuillage, ton bras lierre
Impériale cascade s’allonge, s’étale
Luxurieusement s’étire et s’installe
Tout contre mon cœur qu’il enserre
Sa fraicheur ombragée est anti UV
Pour le cou une tonnelle, un saule
Les jours d’hiver, sur mon épaule
La douce chaleur d’un bon duvet
Charmille, allée jusqu’à mon oreille
A la porte de ma bouche se hisse
La sève du baiser qui s’y glisse
Ravive mon sourire, l’ensoleille
Quand, au sommet d’un toit et moi
Ton doux regard, mon bel amoureux
Se penche à la fenêtre de mes yeux
C’est mon âme qu’il embrasse à l’émoi
PHILALY // JUIN 2018
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