L’épreuve est d’aucun doute en cette violence
Offrant sa léthargie en moments d’endurance
Sa vague s’insinue en sourde affliction
La douleur dans l’esprit attise une veilleuse
À perdre l’être cher fuir sans perception
L’âme s’éteint, se noie et s’effondre en latence
Sur une seule fleur la pensée est souffrance
Dès lors se damne en gouffre, en expiation !
La douleur dans son corps suit la frêle veilleuse
Qui le couvre de maux en chimère ombrageuse
Ô ! Temps poseras-tu ? L’angoisse en sa chaleur …
Le souvenir planant sous la lune orageuse
Au rêve en cauchemar, venant la voyageuse
Écorchée en la plume au soir de sa douleur.
Offrant sa léthargie en moments d’endurance
Sa vague s’insinue en sourde affliction
La douleur dans l’esprit attise une veilleuse
À perdre l’être cher fuir sans perception
L’âme s’éteint, se noie et s’effondre en latence
Sur une seule fleur la pensée est souffrance
Dès lors se damne en gouffre, en expiation !
La douleur dans son corps suit la frêle veilleuse
Qui le couvre de maux en chimère ombrageuse
Ô ! Temps poseras-tu ? L’angoisse en sa chaleur …
Le souvenir planant sous la lune orageuse
Au rêve en cauchemar, venant la voyageuse
Écorchée en la plume au soir de sa douleur.
Maria-Dolores