J’écris et je me sens poète
Un privilège qui me sert a voir le monde à l’envers
Je décrit la douleur d’un amour et les pertes
Dans une vie fausse et peut s’insert
Je glisse ma plume dans des plaies profondes
J’en retire la douleur, les cris, les détresses
Je gratte mes feuilles, je les froissent, les inondent
De sang ou de l’arme, elles se pressent et s’affaissent
Je pourrai décrit la joie et l’espoir
Faire le croquis d’un sourire, d’un bonheur parfait
Mais la souffrance est un reflet sans miroir
Je vis par ma souffrance, mon malheur et mes plaie
Voici mon art où chaque mot est un chant de malheur
Où les violons siffles, les pianos gueule, et les baguettes claquent
Où les cris, les plaintes, les pleures sont en cœur
Où tout est dans le même orchestre ,les cœurs éclatent
Toile d’une dure réalité, criblée d’image
Ephémère, blessé d’un mal immortel
Pourquoi décrire un rire de passage
Alor que les cicatrices restent et sen mêlent
Un privilège qui me sert a voir le monde à l’envers
Je décrit la douleur d’un amour et les pertes
Dans une vie fausse et peut s’insert
Je glisse ma plume dans des plaies profondes
J’en retire la douleur, les cris, les détresses
Je gratte mes feuilles, je les froissent, les inondent
De sang ou de l’arme, elles se pressent et s’affaissent
Je pourrai décrit la joie et l’espoir
Faire le croquis d’un sourire, d’un bonheur parfait
Mais la souffrance est un reflet sans miroir
Je vis par ma souffrance, mon malheur et mes plaie
Voici mon art où chaque mot est un chant de malheur
Où les violons siffles, les pianos gueule, et les baguettes claquent
Où les cris, les plaintes, les pleures sont en cœur
Où tout est dans le même orchestre ,les cœurs éclatent
Toile d’une dure réalité, criblée d’image
Ephémère, blessé d’un mal immortel
Pourquoi décrire un rire de passage
Alor que les cicatrices restent et sen mêlent