J'aspirais l'arôme exalté par une créature possédant l'odeur qui soutenait mon coeur en pire malgré tout et, c'était en laps de temps.
Et l'arôme je l'ai sentie , je le sentirai autant dans les souvenirs qui relèvent ton image dans moi. J'étais entouré des soins possibles parce que tu étais devant mes yeux comme suffisance de mes carences.
J'ai perdu le sens de la solidité car j'étais plus près de toi les doigts plus profond que l'humanité. Nos cœurs ambitieux de l'avenir ayant les conversations vive qui attiraient le monde vers nous ; sont éprouvées du a la séparation involontaire de nos pulsations pourtant ta face tendre au dessein parfait se promène toujours dans mes imaginations demeure encore vivace dans moi. Je te cherche. Souvent te perdre je ne nierais pas que ça était toujours un vide. Voulant te revoir hélas ; tu n y es plus . je n'y puis penser sans être éploré et je pense toujours . je passe de moment ignoble sans toi; occupation de mes ennuis. Je n'espère pas de consolation à cet effet . et je pleur. Je songe à tous les pas que tu fis .mon coeur était à la douceur quand il fut auprès de toi; Chère amie. La séparation de nous , me donne la douleur tant physique que morale du moins j'ai le coeur et l'imagination tout rempli de toi. Le temps savoureux passé ensemble rend celui-ci amer et malveillant. Pour l'absence entre nous qui crée l'amertume mais ça ne sera jamais assez pour ne pas souhaiter ardemment te revoir et t'embrasser. Tu faisais les pages de mon passé , bien que la distance entre nous m'a fait souffrir : je serai encore plus à plaindre puisque je m'étais imprudemment fait une habitude nécessaire de te voir.
Il me semble que je ne t'ai point embrassé en partant , que je ne t'ai point remercié des toutes tes politesses et de toute l'amitié que ta considération m'avait entouré de concert. Nous ne puissions plus nous revoir m'est dit mon coeur ; pourtant tu es fidèlement placer dans mon futur.
Et l'arôme je l'ai sentie , je le sentirai autant dans les souvenirs qui relèvent ton image dans moi. J'étais entouré des soins possibles parce que tu étais devant mes yeux comme suffisance de mes carences.
J'ai perdu le sens de la solidité car j'étais plus près de toi les doigts plus profond que l'humanité. Nos cœurs ambitieux de l'avenir ayant les conversations vive qui attiraient le monde vers nous ; sont éprouvées du a la séparation involontaire de nos pulsations pourtant ta face tendre au dessein parfait se promène toujours dans mes imaginations demeure encore vivace dans moi. Je te cherche. Souvent te perdre je ne nierais pas que ça était toujours un vide. Voulant te revoir hélas ; tu n y es plus . je n'y puis penser sans être éploré et je pense toujours . je passe de moment ignoble sans toi; occupation de mes ennuis. Je n'espère pas de consolation à cet effet . et je pleur. Je songe à tous les pas que tu fis .mon coeur était à la douceur quand il fut auprès de toi; Chère amie. La séparation de nous , me donne la douleur tant physique que morale du moins j'ai le coeur et l'imagination tout rempli de toi. Le temps savoureux passé ensemble rend celui-ci amer et malveillant. Pour l'absence entre nous qui crée l'amertume mais ça ne sera jamais assez pour ne pas souhaiter ardemment te revoir et t'embrasser. Tu faisais les pages de mon passé , bien que la distance entre nous m'a fait souffrir : je serai encore plus à plaindre puisque je m'étais imprudemment fait une habitude nécessaire de te voir.
Il me semble que je ne t'ai point embrassé en partant , que je ne t'ai point remercié des toutes tes politesses et de toute l'amitié que ta considération m'avait entouré de concert. Nous ne puissions plus nous revoir m'est dit mon coeur ; pourtant tu es fidèlement placer dans mon futur.