Dormir auprès de toi, d'un sommeil apaisé,
Lorsque mon corps dans une entente subtile,
Se sent bien chose ,dans de douces brassées,
Et que ta main se pose sur l'offre évidente du pontil.
Je glisse la cheville entre tes pieds, vulnérable au possible,
Nue, abandonnée à ta chaleur, comme l'enfant rassuré,
Un désir de proximité, restant face au monde, aliénée
Et docile à ton visage éclairé, que je lis, que je crible.
Prête à me donner à tes palpitants désirs intérieurs,
Pour vivre l'apologie du plaisir, et nous savoir vivants,
J'écoute cette petite musique stimulante de mon cœur,
Plus douce , que respirer un bouton de rose naissant.
Aux prismes de nos corps, au diapason de nos étreintes,
L'aurore point , l'alcôve s'emplit d'un parfum de sécurité ,
L'un contre l'autre, accolés, le jour parait en demi-teinte,
Le soir semble si loin avant que ta main me serre de prés ..très prés....
Lorsque mon corps dans une entente subtile,
Se sent bien chose ,dans de douces brassées,
Et que ta main se pose sur l'offre évidente du pontil.
Je glisse la cheville entre tes pieds, vulnérable au possible,
Nue, abandonnée à ta chaleur, comme l'enfant rassuré,
Un désir de proximité, restant face au monde, aliénée
Et docile à ton visage éclairé, que je lis, que je crible.
Prête à me donner à tes palpitants désirs intérieurs,
Pour vivre l'apologie du plaisir, et nous savoir vivants,
J'écoute cette petite musique stimulante de mon cœur,
Plus douce , que respirer un bouton de rose naissant.
Aux prismes de nos corps, au diapason de nos étreintes,
L'aurore point , l'alcôve s'emplit d'un parfum de sécurité ,
L'un contre l'autre, accolés, le jour parait en demi-teinte,
Le soir semble si loin avant que ta main me serre de prés ..très prés....