Diamant de mon corps
enfin je t’ai rencontré après tant d’années d’ignorance.
Il a fallu qu’un homme me tourne vers ton trésor
pour qu’enfin j’accède à tes territoires sublimes.
Découvrir ta morphologie surprenante,
tes nuances, ta partie cachée et pourtant si puissante.
Ta cerise n’est que le fruit d’un joyau
encore plus doux, plus intense.
L’un sans l’autre vous n’existez pas.
Je navigue maintenant de mes doigts habiles
sur vos vagues subtiles, dans vos courants profonds.
Vos flots vacillent de douceur en turbulences extrêmes.
Qu’elle est douce la mise à l’eau,
quelle est belle la route des délices.
Qu’il est tendre l’embrun de ton grand large,
arrivant par vague je ne veux plus qu’il cesse.
Que de tourbillons montant jusqu’à l’extase…
Me voilà portée de l’autre côté,
arrivée en douceur, quel bonheur !
Parvenue à bon port j’en suis revigorée tout autant qu’apaisée.
Le marin qui m’initia à ce voyage a quitté le bateau,
me voici capitaine de cette merveilleuse yole.
Seule maîtresse à bord pour de fabuleux voyages,
rarement je me les offre tant divins soient-ils.
Cette traversée mainte fois éprouvée maintenant,
reste une des découvertes tant tardive que majeure de ma vie féminine.
Je rends grâce au ciel de m’avoir envoyé ce fameux matelot,
qui je dois le reconnaître tenais là sa principale qualité.
La vie a ses mystères que nul ne peut percer.
Je saurai je l’espère y accueillir un nouveau navigateur,
tant terrien qu’ouvert aux voyages en mers.
Plus joyeuses y sont les traversées à deux.
Sarita 19/12/20
enfin je t’ai rencontré après tant d’années d’ignorance.
Il a fallu qu’un homme me tourne vers ton trésor
pour qu’enfin j’accède à tes territoires sublimes.
Découvrir ta morphologie surprenante,
tes nuances, ta partie cachée et pourtant si puissante.
Ta cerise n’est que le fruit d’un joyau
encore plus doux, plus intense.
L’un sans l’autre vous n’existez pas.
Je navigue maintenant de mes doigts habiles
sur vos vagues subtiles, dans vos courants profonds.
Vos flots vacillent de douceur en turbulences extrêmes.
Qu’elle est douce la mise à l’eau,
quelle est belle la route des délices.
Qu’il est tendre l’embrun de ton grand large,
arrivant par vague je ne veux plus qu’il cesse.
Que de tourbillons montant jusqu’à l’extase…
Me voilà portée de l’autre côté,
arrivée en douceur, quel bonheur !
Parvenue à bon port j’en suis revigorée tout autant qu’apaisée.
Le marin qui m’initia à ce voyage a quitté le bateau,
me voici capitaine de cette merveilleuse yole.
Seule maîtresse à bord pour de fabuleux voyages,
rarement je me les offre tant divins soient-ils.
Cette traversée mainte fois éprouvée maintenant,
reste une des découvertes tant tardive que majeure de ma vie féminine.
Je rends grâce au ciel de m’avoir envoyé ce fameux matelot,
qui je dois le reconnaître tenais là sa principale qualité.
La vie a ses mystères que nul ne peut percer.
Je saurai je l’espère y accueillir un nouveau navigateur,
tant terrien qu’ouvert aux voyages en mers.
Plus joyeuses y sont les traversées à deux.
Sarita 19/12/20