Destin
Va, marche, apprivoise le destin, continue ton chemin et tend toujours la main.
Restes fort, poursuis ton idéal, rien ne t’arrêteras, partages ton savoir et un peu de ton pain.
Apprends, construits, et jamais ne détruits, honnête parmi les hommes pour te sentir humain.
Eduques, suis, protèges ta famille, comprends le nécessaire, et utilises le au service des tiens.
Tu recherches l’amour, partout et tous les jours.
Dans les yeux de tes semblables, tu ne vois pas la flamme.
Et tu cours comme un fou, pensant à l’amour toujours.
Mais avant que d’être aimé, comprends tu leurs larmes ?
Tu es si fort, si courageux, rien ne t’arrêtes jamais.
Si tu peux y penser, tu auras toutes les clefs.
Sauves ton bonheur, aides ceux qui souffrent.
Sauves ton honneur, fuit l’or du soufre.
Encore, insistes, trouves la bonne entrée, observes attentivement.
Encore, regardes, tu vas bientôt entrer, alors tu comprends.
Encore, pousses, tu vas y arriver, maintenant tu le ressens.
Encore un effort, et illuminé, devant toi le chemin s’étend.
Tu recherches les autres partout, et tous les jours.
Dans les yeux de tes semblables, tu ne vois que du flou.
Alors tu cours comme un fou, en pensant, amour toujours.
Mais avant que de les aider, as-tu trouvé, ton amour fou ?
Tu es si noble, si fraternel, rien que tu ne comprennes.
Tu as la connaissance, pour faire disparaître la haine.
En tant qu’humain, toujours un but commun.
En tant qu’être conscient, voir le chemin.
Va, marche, apprivoise le destin, continue ton chemin et tend toujours la main.
Restes fort, poursuis ton idéal, rien ne t’arrêteras, partages ton savoir et un peu de ton pain.
Apprends, construits, et jamais ne détruits, honnête parmi les hommes pour te sentir humain.
Eduques, suis, protèges ta famille, comprends le nécessaire, et utilises le au service des tiens.
Tu recherches l’amour, partout et tous les jours.
Dans les yeux de tes semblables, tu ne vois pas la flamme.
Et tu cours comme un fou, pensant à l’amour toujours.
Mais avant que d’être aimé, comprends tu leurs larmes ?
Tu es si fort, si courageux, rien ne t’arrêtes jamais.
Si tu peux y penser, tu auras toutes les clefs.
Sauves ton bonheur, aides ceux qui souffrent.
Sauves ton honneur, fuit l’or du soufre.
Encore, insistes, trouves la bonne entrée, observes attentivement.
Encore, regardes, tu vas bientôt entrer, alors tu comprends.
Encore, pousses, tu vas y arriver, maintenant tu le ressens.
Encore un effort, et illuminé, devant toi le chemin s’étend.
Tu recherches les autres partout, et tous les jours.
Dans les yeux de tes semblables, tu ne vois que du flou.
Alors tu cours comme un fou, en pensant, amour toujours.
Mais avant que de les aider, as-tu trouvé, ton amour fou ?
Tu es si noble, si fraternel, rien que tu ne comprennes.
Tu as la connaissance, pour faire disparaître la haine.
En tant qu’humain, toujours un but commun.
En tant qu’être conscient, voir le chemin.