Destinées endiablées
D'un regard, d'un sourire que deux inconnus ont agréablement échangé,
Tous les deux étaient chacun de leurs côtés dans l'immense salle de réception,
Discrètement, ils s'observent, se reculent, se rapprochent, se fixent puis se défient.
Sculptent sans bruit, tous les moindres petits recoins et détails de la pièce,
Éclairés par les douces lueurs des grands lustres tendances,
Offrant leurs chaleureuses luminosités divines,
Des grands haut-parleurs offrent de multiples enchaînements de succès.
À travers tellement de danses désarticulées tous se sentent légers,
S'adonnant aux immenses joies des belles célébrations,
Entre quelques pas de danses collés-serrés, quelques-uns se confient.
D'autres désertent un moment la piste, reviennent puis s'y compressent,
Sur celle-ci, tous s'adonnent à toutes les diversités de danses.
Sous les jeux de pluies diluviennes, de lumières tamisées fines,
Pourvu qu'elles puissent briller avec excès,
Alors leurs couleurs viendront d'elles-mêmes s'embraser, se mélanger.
Là, leurs corps seront tellement proches au point que ça ne devienne une addiction.
Des tours sentimentaux, Annaïck et Eric se méfient.
Entre les deux amants, la flamme qui subsistait devenait déesse,
Daignant confondre leurs élans sulfureux qui les ont mis en transes,
Tels des ombres chinoises, ensemble, ils déambulent et se devinent.
Jusqu'à ce qu'ils se provoquent des frissons endiablés dès qu'ils daignent s'enlacer.
Leurs relations reflètent, au-delà des milles et unes constellations,
Au ciel, ils confient leur amour si grand et sans prix.
Fusionnant leurs destins dans les fougues d'un diable et sa diablesse.
D'un regard, d'un sourire que deux inconnus ont agréablement échangé,
Tous les deux étaient chacun de leurs côtés dans l'immense salle de réception,
Discrètement, ils s'observent, se reculent, se rapprochent, se fixent puis se défient.
Sculptent sans bruit, tous les moindres petits recoins et détails de la pièce,
Éclairés par les douces lueurs des grands lustres tendances,
Offrant leurs chaleureuses luminosités divines,
Des grands haut-parleurs offrent de multiples enchaînements de succès.
À travers tellement de danses désarticulées tous se sentent légers,
S'adonnant aux immenses joies des belles célébrations,
Entre quelques pas de danses collés-serrés, quelques-uns se confient.
D'autres désertent un moment la piste, reviennent puis s'y compressent,
Sur celle-ci, tous s'adonnent à toutes les diversités de danses.
Sous les jeux de pluies diluviennes, de lumières tamisées fines,
Pourvu qu'elles puissent briller avec excès,
Alors leurs couleurs viendront d'elles-mêmes s'embraser, se mélanger.
Là, leurs corps seront tellement proches au point que ça ne devienne une addiction.
Des tours sentimentaux, Annaïck et Eric se méfient.
Entre les deux amants, la flamme qui subsistait devenait déesse,
Daignant confondre leurs élans sulfureux qui les ont mis en transes,
Tels des ombres chinoises, ensemble, ils déambulent et se devinent.
Jusqu'à ce qu'ils se provoquent des frissons endiablés dès qu'ils daignent s'enlacer.
Leurs relations reflètent, au-delà des milles et unes constellations,
Au ciel, ils confient leur amour si grand et sans prix.
Fusionnant leurs destins dans les fougues d'un diable et sa diablesse.