Il y a des douleurs qui ne crient que de l’intérieur
Comme être face à la mer sans en voir la couleur
Comme être à un orchestre sans en ouïr les chants
Comme peindre un dessin dont on ne sait les flancs
Et être près de toi sans pouvoir te parler
Il y a des douleurs qui ne s’expliquent que trop mal…
Souffrir sans pouvoir le dire
Aimer sans pouvoir le crier
Vouloir sans jamais le pouvoir
Et fondre dans un flou illisible que seul on comprend
Il y a des tristesses qui valent bien leurs grisailles
Elles choisissent l’harmonie aux guerres
Elles terrassent un et protègent plusieurs
Elles vont et viennent jusqu’au bout de la tempête..
Il y a de la tristesse derrière chacun de mes regards
Une larme derrière chacune de mes phrases
Et parfois un silence plus triste encore quand enfin tu t'éloignes..
Comme être face à la mer sans en voir la couleur
Comme être à un orchestre sans en ouïr les chants
Comme peindre un dessin dont on ne sait les flancs
Et être près de toi sans pouvoir te parler
Il y a des douleurs qui ne s’expliquent que trop mal…
Souffrir sans pouvoir le dire
Aimer sans pouvoir le crier
Vouloir sans jamais le pouvoir
Et fondre dans un flou illisible que seul on comprend
Il y a des tristesses qui valent bien leurs grisailles
Elles choisissent l’harmonie aux guerres
Elles terrassent un et protègent plusieurs
Elles vont et viennent jusqu’au bout de la tempête..
Il y a de la tristesse derrière chacun de mes regards
Une larme derrière chacune de mes phrases
Et parfois un silence plus triste encore quand enfin tu t'éloignes..
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