Jour 11 : Déco. Je fatigue un peu, je ne pensais pas que cela serait aussi éprouvant psychiquement, mais bon, on tient bon. Je ne sais même pas où je trouve encore des idées dans l'improvisation totale >< mais la thématique est une bonne ligne directrice. J'ai la sensation qu'avec la fatigue, je me détériore un peu et cela est moins bien écrit ou peaufiné, dû au respect du temps, mais je me fais peut-être des idées. ><
En louvoyant au sein d’une illusion sommaire
D’un battement ailé laissant une trainé
D’un sillage d’argent afin de parsemer
Autour de ce sapin connoté de lumières
Une guirlande emplie de comètes filantes
Où s’unissent les vœux aux gaietés de l’espoir
Dans ce dôme spatial qui s’orne chaque soir
De coloris pluviaux aux ondées flavescentes.
Cet endroit qui engendre une foule d’énigmes
Par son ésotérisme inondant les croyances
Devient une tanière où les effervescences
De ces miroitements font luire un paradigme
Où nous nous réfugions dans cette mère altruiste
Pour que nos orémus atteignent ces soleils.
Cet aplat marinier où volent ces abeilles
Est la source imputable où les plus optimistes
Qu’ils soient pieux ou athées chinent à tutoyer
Pour être en collusion de manière psychique
Avec ce cimetière à l’aura rhétorique
Appétant le désir sous leur âme endeuillée
D’atteindre leurs parents dans cette ruche astrale.
Chaque insecte mielleux est un proche défunt
Qui guide mon envol pour rejoindre ce pin
Et plus je m’avançais plus un charme sacral
Dans ce bal vespéral aux senteurs mellifères
S’exauça devant moi sous mes yeux ébahis
En mirant étourdie que ce cône verdi
Détenait une chair d’oraisons forestières.
Lorsque placidement je m’approchais de l’if
Des décors s’esquissaient en des boules moirées
Formant des galaxies aux sphères constellés
D’une poudre étoilée sous un air cognitif
Afin de témoigner que cet arbre stellaire
Etait un étalon d’implicites messages
Par sa décoration affublant des présages.
Ces parures sensées d’un ordre salutaire
Marquait une avenue sous ses aérolites
Qui guidaient ma vision comme un traineau versant
Sa poudre féerique en croquant l’ornement
De torsades dorées dans cet épineux site
Afin de m’enseigner l’insolite lecture
De ce livre dévot d’une légende immuable.
Chaque chapitre tend par ces boules notables
A m’offrir un présent d’une diégèse pure
Où les intrigues ploient en rythmes maitrisés
Du tronc de ce sapin à son fastueux pinacle.
Chaque globe renferme un miniature oracle
D’un spectacle aguicheur qui conçoit chaque année
Une décoration spécifique à sa terre
Pour pouvoir recueillir ces illustres parures
Reproduit constamment sous une neuve allure
Pour ces célébrations qui clôturent cette ère
Dans ces cosmos mouvant sous une mécanique
De pantins animés aux nacres vivifiants.
Ces poupées conversaient sur un ton relaxant
Dans un dialecte écru qui m’était exotique
N’arrivant à comprendre ces langues indigènes
Se liant spontanément au gré de l’égoïne
En faisant évoluer ces planètes alpines
Par les émanations de ces douces rengaines
En coffret musical propre à chaque chimère.
Ces divers référents au langage amplifié
Honore une ascension afin de nous narrer
Qu’il ne faut oublier que sous cette prière
Se camoufle les sens expliquant ses racines
Commençant par un renne au milieu de la neige
Pour terminer par celle au fidèle cortège
D’un groupement d’humain autour de l’origine
De la Nativité confectionnant la crèche.
Cette scène chrétienne est le cœur de la fête
Sous le gardien essor de ces laiteux prophètes
Protégeant ce poupon afin que ne s’assèchent
Ces ruisseaux lumineux qui vêtent ce Seigneur
D’un respectueux halo en ce jour salutaire
Afin de gratifier ce rayon de lumière
Qui a toujours été notre éternel sauveur.
Des décors séculiers aux plus ésotériques
M’étaient offert en nue d’exemplaires variés
Afin que je rappelle à ces hominidés
Qu’ils parent leur maison de ces âmes cosmiques
Offert par leurs aïeuls pour ces galas intimes
Afin de leur montrer qu’ils ne délaissent pas
Leur famille apprêtée par tous ces apparats
En la réunissant autour de ces maximes.
Oiseau Lyre.
En louvoyant au sein d’une illusion sommaire
D’un battement ailé laissant une trainé
D’un sillage d’argent afin de parsemer
Autour de ce sapin connoté de lumières
Une guirlande emplie de comètes filantes
Où s’unissent les vœux aux gaietés de l’espoir
Dans ce dôme spatial qui s’orne chaque soir
De coloris pluviaux aux ondées flavescentes.
Cet endroit qui engendre une foule d’énigmes
Par son ésotérisme inondant les croyances
Devient une tanière où les effervescences
De ces miroitements font luire un paradigme
Où nous nous réfugions dans cette mère altruiste
Pour que nos orémus atteignent ces soleils.
Cet aplat marinier où volent ces abeilles
Est la source imputable où les plus optimistes
Qu’ils soient pieux ou athées chinent à tutoyer
Pour être en collusion de manière psychique
Avec ce cimetière à l’aura rhétorique
Appétant le désir sous leur âme endeuillée
D’atteindre leurs parents dans cette ruche astrale.
Chaque insecte mielleux est un proche défunt
Qui guide mon envol pour rejoindre ce pin
Et plus je m’avançais plus un charme sacral
Dans ce bal vespéral aux senteurs mellifères
S’exauça devant moi sous mes yeux ébahis
En mirant étourdie que ce cône verdi
Détenait une chair d’oraisons forestières.
Lorsque placidement je m’approchais de l’if
Des décors s’esquissaient en des boules moirées
Formant des galaxies aux sphères constellés
D’une poudre étoilée sous un air cognitif
Afin de témoigner que cet arbre stellaire
Etait un étalon d’implicites messages
Par sa décoration affublant des présages.
Ces parures sensées d’un ordre salutaire
Marquait une avenue sous ses aérolites
Qui guidaient ma vision comme un traineau versant
Sa poudre féerique en croquant l’ornement
De torsades dorées dans cet épineux site
Afin de m’enseigner l’insolite lecture
De ce livre dévot d’une légende immuable.
Chaque chapitre tend par ces boules notables
A m’offrir un présent d’une diégèse pure
Où les intrigues ploient en rythmes maitrisés
Du tronc de ce sapin à son fastueux pinacle.
Chaque globe renferme un miniature oracle
D’un spectacle aguicheur qui conçoit chaque année
Une décoration spécifique à sa terre
Pour pouvoir recueillir ces illustres parures
Reproduit constamment sous une neuve allure
Pour ces célébrations qui clôturent cette ère
Dans ces cosmos mouvant sous une mécanique
De pantins animés aux nacres vivifiants.
Ces poupées conversaient sur un ton relaxant
Dans un dialecte écru qui m’était exotique
N’arrivant à comprendre ces langues indigènes
Se liant spontanément au gré de l’égoïne
En faisant évoluer ces planètes alpines
Par les émanations de ces douces rengaines
En coffret musical propre à chaque chimère.
Ces divers référents au langage amplifié
Honore une ascension afin de nous narrer
Qu’il ne faut oublier que sous cette prière
Se camoufle les sens expliquant ses racines
Commençant par un renne au milieu de la neige
Pour terminer par celle au fidèle cortège
D’un groupement d’humain autour de l’origine
De la Nativité confectionnant la crèche.
Cette scène chrétienne est le cœur de la fête
Sous le gardien essor de ces laiteux prophètes
Protégeant ce poupon afin que ne s’assèchent
Ces ruisseaux lumineux qui vêtent ce Seigneur
D’un respectueux halo en ce jour salutaire
Afin de gratifier ce rayon de lumière
Qui a toujours été notre éternel sauveur.
Des décors séculiers aux plus ésotériques
M’étaient offert en nue d’exemplaires variés
Afin que je rappelle à ces hominidés
Qu’ils parent leur maison de ces âmes cosmiques
Offert par leurs aïeuls pour ces galas intimes
Afin de leur montrer qu’ils ne délaissent pas
Leur famille apprêtée par tous ces apparats
En la réunissant autour de ces maximes.
Oiseau Lyre.
Pièces jointes
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