Elle posait , hiver comme été
De grosses fleurs sur son chapeau
En passant rue des trois tonneaux
Toujours elle me souriait
Elle avait sous son grand chapeau
Une chevelure de miel
C’était mon rayon de soleil
Sa vue m’ était toujours cadeau
Elle portait des coquillages
En collier sur sa peau dorée
Et puis un petit scarabée
Ramené d’un de ses voyages
Elle écoutait en souriant
Les notes que mon violon
Lui dédiait avec passion
Pétales d’espoir dans le vent
Un jour elle n’est plus passée
Je n’en connais pas la raison
Je n’ai jamais su son prénom
Peut-être était-ce Désirée ?
Et depuis ce jour là, j’espère
Mon violon pleure en silence
Le chagrin fou de son absence
Et depuis ce jour là j’espère
Revoir l’image du bonheur :
Ses yeux sous sa coiffe de fleurs !
achevé à l'instant et inspiré par les images de février de l'atelier , violon , chapeau et coquillages
De grosses fleurs sur son chapeau
En passant rue des trois tonneaux
Toujours elle me souriait
Elle avait sous son grand chapeau
Une chevelure de miel
C’était mon rayon de soleil
Sa vue m’ était toujours cadeau
Elle portait des coquillages
En collier sur sa peau dorée
Et puis un petit scarabée
Ramené d’un de ses voyages
Elle écoutait en souriant
Les notes que mon violon
Lui dédiait avec passion
Pétales d’espoir dans le vent
Un jour elle n’est plus passée
Je n’en connais pas la raison
Je n’ai jamais su son prénom
Peut-être était-ce Désirée ?
Et depuis ce jour là, j’espère
Mon violon pleure en silence
Le chagrin fou de son absence
Et depuis ce jour là j’espère
Revoir l’image du bonheur :
Ses yeux sous sa coiffe de fleurs !
achevé à l'instant et inspiré par les images de février de l'atelier , violon , chapeau et coquillages
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