Des Degrés de l’Ivresse
(glose de l'échelle de Schmidt)
Légère et éphémère, comme presque fruitée :
Tes lèvres à l’envers, comme un livre ébruité.
Aiguë voire soudaine, légèrement alarmante :
Ta main près de mon aine, ton regard amarante.
Rare et perçante à souhait, comme élevée en sorte :
Ta langue de l’archet qui cherche une autre porte.
Riche, copieuse et douce, légèrement « craquante » :
L’opulence où je pousse ma tige provocante.
Chaude et fumante, et presque irrévérencieuse :
Ta mangue offerte en fresque à mes yeux, audacieuse.
Allumette qui me brûle dessus la peau :
Ta morsure qui me serre en étau tétons.
Foret d’une perceuse où s’abîme mon cœur :
Pupilles aguicheuses palpitant mes ardeurs.
Caustique et brûlante, et ... : tes chairs accueillantes,
Dont je reviens hanter les rives ondoyantes.
Aveuglante et féroce, électrique : en poussée,
Tes reins fendant l’écorce pour ma lame émousser.
Pure, intense et brillante : ton souffle à mon oreille,
Cependant qu’en ton antre m’éblouit ton soleil.
(glose de l'échelle de Schmidt)
Légère et éphémère, comme presque fruitée :
Tes lèvres à l’envers, comme un livre ébruité.
Aiguë voire soudaine, légèrement alarmante :
Ta main près de mon aine, ton regard amarante.
Rare et perçante à souhait, comme élevée en sorte :
Ta langue de l’archet qui cherche une autre porte.
Riche, copieuse et douce, légèrement « craquante » :
L’opulence où je pousse ma tige provocante.
Chaude et fumante, et presque irrévérencieuse :
Ta mangue offerte en fresque à mes yeux, audacieuse.
Allumette qui me brûle dessus la peau :
Ta morsure qui me serre en étau tétons.
Foret d’une perceuse où s’abîme mon cœur :
Pupilles aguicheuses palpitant mes ardeurs.
Caustique et brûlante, et ... : tes chairs accueillantes,
Dont je reviens hanter les rives ondoyantes.
Aveuglante et féroce, électrique : en poussée,
Tes reins fendant l’écorce pour ma lame émousser.
Pure, intense et brillante : ton souffle à mon oreille,
Cependant qu’en ton antre m’éblouit ton soleil.
Aubépin des Ardrets