Jour 21 : Guirlande. J'avais pas trop d'inspiration, donc j'ai pas mal erré au cours de mon écrit, sans vraiment savoir où j'allais.
Je me dirigeais vers mon modeste sapin
Décoré d’un branchage aux aiguilles verdâtres
Qui s’ornait d’un boa serpentant dans cet âtre
Et d’un argent brillant au touché cristallin
Il m’emporte en son rêve où ploie une forêt
Complètement paré de ces anacondas.
De par ses coloris aux notes d’apparat
Il narre tout un monde en un souffle discret
Secrètement gardé par ces reptiles blancs
Afin de prémunir leurs divers protégés
De leur chaleur poudrée d’un rai ensoleillé
Parsemé par l’auteur de ce songe saillant
Afin de réchauffer ces insolites âmes.
En effet des aspics chatoyés de pastels
Aux teintes bariolés peignant une aquarelle
Composent de leur corps tout un globe où les gammes
De sons animaliers s’agrègent aux accords
De ces chants religieux que l’on aime entonner
Pour que s’anime en nous des coffrets satinés
D’un battement floral instruit par ces décors.
Ces sages distinctions enserrant notre cône
Initient que la vie sous leurs spores psychiques
Continue de briller sous une bise éthique
Si l’on sait écouter sous ce manteau aphone
Que le cours spirituel de nos vastes pensées
Au tempo de nos cœurs ne cessera de luire.
Donc si on a la foi aspirer à proscrire
En ces temps affligeants notre morosité
Est une perspective objectivement fiable
Si l’on suit les desseins de ces esprits fidèles
Ces serpents nébuleux formant une étincelle
D’aériennes traînés en un message allouable
Etant en connivence avec ces déités.
Le temps n’est qu’un refrain où l’on est les couplets
De ce chant quaternaire aux mélodieux tercets
Jusqu’à parachever ce concert saisonnier
Dans ce ru floconneux aux rythmes répartis
En spleen mélancolique où en toile utopique
Inspirant des récits aux fables chimériques.
Ce découpage annuel est déjà préinscrit
Il ne tient donc qu’à nous de rester pragmatiques
En restant assonant avec les animaux
Délivrant en ces temps les plus sages des mots
Apprendre la survie malgré ce froid arctique
En tentant de braver ces frimas tempétueux.
Alors anoblissons ces héros des congères
Devant en tout climat en une âme guerrière
Vaincre les examens de ce cosmos scabreux
D’une instabilité précaire et imprévue
Afin de percevoir le paradis acquis
De détenir un toit au chauffage compris.
Alors ayons confiance en ces saints assidus
Qui partagent nos jours de fêtes enneigées
En nous laissant aller sans être effarouchés
A suivre leurs dictons pour rester raccordés
A ces formes d’espoirs afin de ramener
Un rayon de chaleur irradiant nos logis.
C’est pourquoi majestueux ils honorent nos pins
En source allégorique afin de rappeler
Que le destin persiste en ce gel assagit.
Oiseau Lyre.
Je me dirigeais vers mon modeste sapin
Décoré d’un branchage aux aiguilles verdâtres
Qui s’ornait d’un boa serpentant dans cet âtre
Et d’un argent brillant au touché cristallin
Il m’emporte en son rêve où ploie une forêt
Complètement paré de ces anacondas.
De par ses coloris aux notes d’apparat
Il narre tout un monde en un souffle discret
Secrètement gardé par ces reptiles blancs
Afin de prémunir leurs divers protégés
De leur chaleur poudrée d’un rai ensoleillé
Parsemé par l’auteur de ce songe saillant
Afin de réchauffer ces insolites âmes.
En effet des aspics chatoyés de pastels
Aux teintes bariolés peignant une aquarelle
Composent de leur corps tout un globe où les gammes
De sons animaliers s’agrègent aux accords
De ces chants religieux que l’on aime entonner
Pour que s’anime en nous des coffrets satinés
D’un battement floral instruit par ces décors.
Ces sages distinctions enserrant notre cône
Initient que la vie sous leurs spores psychiques
Continue de briller sous une bise éthique
Si l’on sait écouter sous ce manteau aphone
Que le cours spirituel de nos vastes pensées
Au tempo de nos cœurs ne cessera de luire.
Donc si on a la foi aspirer à proscrire
En ces temps affligeants notre morosité
Est une perspective objectivement fiable
Si l’on suit les desseins de ces esprits fidèles
Ces serpents nébuleux formant une étincelle
D’aériennes traînés en un message allouable
Etant en connivence avec ces déités.
Le temps n’est qu’un refrain où l’on est les couplets
De ce chant quaternaire aux mélodieux tercets
Jusqu’à parachever ce concert saisonnier
Dans ce ru floconneux aux rythmes répartis
En spleen mélancolique où en toile utopique
Inspirant des récits aux fables chimériques.
Ce découpage annuel est déjà préinscrit
Il ne tient donc qu’à nous de rester pragmatiques
En restant assonant avec les animaux
Délivrant en ces temps les plus sages des mots
Apprendre la survie malgré ce froid arctique
En tentant de braver ces frimas tempétueux.
Alors anoblissons ces héros des congères
Devant en tout climat en une âme guerrière
Vaincre les examens de ce cosmos scabreux
D’une instabilité précaire et imprévue
Afin de percevoir le paradis acquis
De détenir un toit au chauffage compris.
Alors ayons confiance en ces saints assidus
Qui partagent nos jours de fêtes enneigées
En nous laissant aller sans être effarouchés
A suivre leurs dictons pour rester raccordés
A ces formes d’espoirs afin de ramener
Un rayon de chaleur irradiant nos logis.
C’est pourquoi majestueux ils honorent nos pins
En source allégorique afin de rappeler
Que le destin persiste en ce gel assagit.
Oiseau Lyre.
