Dernière porte...
Elle crayonne des vallons, plaines et des océans
Ces lieux où l'exil parade en souveraine
Ce ciel par habitude teinté de pelotes de laine
Ces nuages tricotent des désirs si grands,
En aveugle, perdue en quête de son enfant
A genoux face aux Dieux, supplique auprès de reines
A bouffer la poussière, Ô terre corrompue en chaînes
L'espoir n'est vain, les racines en sont le sang.
Elle fouille, boulevards, ruelles, égale aux déments
A saigner les pieds, brûler en enfer, mourir de peine
Cet enfant chérie, faite de sa chair, coule de ses veines
Aujourd'hui femme, renie le lien de sa maman .
Elle seule au monde pèse ce que vaut son diamant
Ce monde peut démenotter le lien coulé dans le chêne
Femme qui puise ses heures à l'affût de l'air du temps
De celle où les empreintes se camouflent sous des mitaines
Quand il y a mille parfums dont l'un est adoucissant
Cette étoffe de soie, qu'elle porte les jours de lune pleine
Elle ne croise le regard de celle qui ne jamais ne ment
Ma fille, mon amour, ma souffrance, toute ma vie est tienne .
LILASYS
CET ECRIT EST LE DERNIER QUE JE DEDIE A MA FILLE
IL EST TEMPS DE TOURNER LA DERNIERE PAGE....
JE NE PEUX VIVRE DANS L'ESPOIR DEPUIS SI LONGTEMPS
MERCI
Elle crayonne des vallons, plaines et des océans
Ces lieux où l'exil parade en souveraine
Ce ciel par habitude teinté de pelotes de laine
Ces nuages tricotent des désirs si grands,
En aveugle, perdue en quête de son enfant
A genoux face aux Dieux, supplique auprès de reines
A bouffer la poussière, Ô terre corrompue en chaînes
L'espoir n'est vain, les racines en sont le sang.
Elle fouille, boulevards, ruelles, égale aux déments
A saigner les pieds, brûler en enfer, mourir de peine
Cet enfant chérie, faite de sa chair, coule de ses veines
Aujourd'hui femme, renie le lien de sa maman .
Elle seule au monde pèse ce que vaut son diamant
Ce monde peut démenotter le lien coulé dans le chêne
Femme qui puise ses heures à l'affût de l'air du temps
De celle où les empreintes se camouflent sous des mitaines
Quand il y a mille parfums dont l'un est adoucissant
Cette étoffe de soie, qu'elle porte les jours de lune pleine
Elle ne croise le regard de celle qui ne jamais ne ment
Ma fille, mon amour, ma souffrance, toute ma vie est tienne .
LILASYS
CET ECRIT EST LE DERNIER QUE JE DEDIE A MA FILLE
IL EST TEMPS DE TOURNER LA DERNIERE PAGE....
JE NE PEUX VIVRE DANS L'ESPOIR DEPUIS SI LONGTEMPS
MERCI